Le footballeur a réglé la caution du rappeur
Il s’était rendu à la police quelques heures après une violente rixe à Chatelet les Halles, qui avait sérieusement blessé un jeune employé de la boutique Unküt, marque de son grand rival le rappeur Booba. Rohff a passé presque deux mois à la prison de Fresnes dont il est sorti vendredi après-midi, avec un bracelet électronique. Sa note a été réglé par un ami footballeur, qui n’est autre que Samuel Eto’o. L’attaquant de Chelsea dispute actuellement la Coupe du monde au Brésil avec les Lions du Cameroun.
«Ce Vendredi 10h30 le juge a accepté ma remise en liberté sous caution et bracelet électronique, j'apprends la nouvelle à 15h, impatient d'être à mardi pour payer ma caution au calme. Mais voilà que 2h après, on me prie de rassembler mes affaires et de sortir sur le champ car je suis libérable. À ma grande surprise, ma caution a été réglée en début d'après midi par un grand monsieur, en direct du Brésil "Samuel Eto´o Fils" la Grande Classe! Un grand Merci». C’est sur Facebook, ce vendredi soir que le rappeur de 36 ans, Rohff, a annoncé aux fans sa libération de la prison de Fresnes après deux mois derrière les barreaux.
Mis aux verrous depuis la violente bagarre qui avait fait les gros titres le 21 avril dernier, l’interprète de Qui est l’exemple? avait été condamné pour «violences volontaires en réunion avec préméditation». Depuis, il avait formulé une demande de remise en liberté sous caution avec bracelet électronique auprès du juge d’instruction. Sa requête a finalement abouti cette semaine.
Pour rappel, à l’époque de l’affaire. Rohff s'était volontairement présenté au commissariat de police, accompagné de son avocat, pour répondre de ses actes. La victime, un jeune employé de la boutique Unküt, du centre de Paris, avait reçu des coups de poing et coups de pied de ses assaillants. Il avait ensuite été hospitalisé et son pronostic vital était alors engagé. Sorti du coma, ce dernier avait finalement pu être entendu par les enquêteurs et avait désigné Rohff comme l'un de ses agresseurs.
Toujours surveillé par les autorités après sa libération, le rappeur d’origine malgache devra se tenir à l’écart de toute provocation s’il espère échapper à la case prison. Les clashs de Rohff avec le rappeur de Boulogne-Billancourt, Booba ont beau être monnaie courante dans le milieu, ce premier épisode violent a marqué un vrai tournant dramatique dans l’affrontement de ces meilleurs ennemis.
www.gala.fr
Mis aux verrous depuis la violente bagarre qui avait fait les gros titres le 21 avril dernier, l’interprète de Qui est l’exemple? avait été condamné pour «violences volontaires en réunion avec préméditation». Depuis, il avait formulé une demande de remise en liberté sous caution avec bracelet électronique auprès du juge d’instruction. Sa requête a finalement abouti cette semaine.
Pour rappel, à l’époque de l’affaire. Rohff s'était volontairement présenté au commissariat de police, accompagné de son avocat, pour répondre de ses actes. La victime, un jeune employé de la boutique Unküt, du centre de Paris, avait reçu des coups de poing et coups de pied de ses assaillants. Il avait ensuite été hospitalisé et son pronostic vital était alors engagé. Sorti du coma, ce dernier avait finalement pu être entendu par les enquêteurs et avait désigné Rohff comme l'un de ses agresseurs.
Toujours surveillé par les autorités après sa libération, le rappeur d’origine malgache devra se tenir à l’écart de toute provocation s’il espère échapper à la case prison. Les clashs de Rohff avec le rappeur de Boulogne-Billancourt, Booba ont beau être monnaie courante dans le milieu, ce premier épisode violent a marqué un vrai tournant dramatique dans l’affrontement de ces meilleurs ennemis.
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