La technologie a ses limites. A l’heure où la géo-localisation se développe dans le commerce ou les services afin de mieux identifier les clients, et où le GPS guide les pas des touristes, le bracelet électronique mis en place dans certains cas par la justice peine à aider à réellement suivre leurs porteurs.
16 attaques
Un parisien de vingt sept ans a ainsi été arrêté parce qu’il est soupçonné de seize attaques de commerces de proximité dans l’ouest de Paris depuis le 20 mai alors même qu’il est porteur d’un bracelet électronique.
Les cibles étaient des pharmacies, des boulangeries, des supérettes et aussi des particuliers attaquées par un homme porteur d’un casque, sous la menace d’un pistolet. Le voleur prenait la fuite sur un deux roues.
Le deux roues repéré
C’est ce deux-roues qui a été avait été repéré par la Police et mis sous surveillance. Son conducteur a été arrêté. Il est l’auteur présumé des vols à main armée. Il a été interpellé en possession d’une sacoche, contenant une réplique de pistolet automatique et une gazeuse, et d’un bracelet électronique.
L’arrestation a eu lieu ce dimanche 10 août. C’est le journal Le Parisien qui rapporte l’information. Le jeune homme avait été condamné en 2013 à trois ans de prison, dont deux avec sursis pour vol. Il avait alors été placé sous surveillance électronique. L’enquête est menée par le 1er district de la police judiciaire parisienne.
Vérifier que la personne reste à son domicile
Le placement sous surveillance électronique ou « bracelet électronique » repose sur le principe que la personne s’engage à rester à son domicile à certaines heures fixées par le juge (par exemple de 19 h à 8 h du matin). La personne porte le bracelet à la cheville. Si elle sort de chez elle en dehors des heures fixées, un surveillant pénitentiaire est aussitôt averti par une alarme à distance.
Le bracelet électronique permet d’exercer une activité professionnelle, de suivre une formation, de rechercher un emploi, de participer de manière essentielle à sa vie de famille, de suivre un traitement médical ou de s’investir dans tout autre projet d’insertion ou de réinsertion de nature à prévenir les risques de récidive.
www.larevuedudigital.com
Le placement sous surveillance électronique ou « bracelet électronique » repose sur le principe que la personne s’engage à rester à son domicile à certaines heures fixées par le juge (par exemple de 19 h à 8 h du matin). La personne porte le bracelet à la cheville. Si elle sort de chez elle en dehors des heures fixées, un surveillant pénitentiaire est aussitôt averti par une alarme à distance.
Le bracelet électronique permet d’exercer une activité professionnelle, de suivre une formation, de rechercher un emploi, de participer de manière essentielle à sa vie de famille, de suivre un traitement médical ou de s’investir dans tout autre projet d’insertion ou de réinsertion de nature à prévenir les risques de récidive.
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