C'est l'une des idées émises par Guillaume Larrivé dans son plan contre la radicalisation islamiste en prison : sonoriser les lieux de détention propices au prosélytisme religieux, des salles de sport aux cours de promenade.
Des micros partout dans les prisons au nom de la lutte anti-djihadistes? Dans son rapport pour un «plan d'action global anti-radicalisation islamiste en prison», le député UMP de l'Yonne, Guillaume Larrivé, n'hésite pas à proposer de «permettre le recours à la sonorisation des locaux de détention».
Selon lui, «les représentants de l'ambassade de Grande-Bretagne en France» lui ont indiqué «que, dans chaque établissement pénitentiaire anglais et gallois, des policiers en charge des questions de terrorisme et de criminalité organisée étaient chargés de recueillir des renseignements, en ayant la possibilité d'effectuer des enquêtes et de recourir, le cas échéant, à la sonorisation des locaux, c'est-à-dire à la captation et à l'enregistrement des conversations qui s'y déroulent.»
Lire la suite sur Le Figaro
Selon lui, «les représentants de l'ambassade de Grande-Bretagne en France» lui ont indiqué «que, dans chaque établissement pénitentiaire anglais et gallois, des policiers en charge des questions de terrorisme et de criminalité organisée étaient chargés de recueillir des renseignements, en ayant la possibilité d'effectuer des enquêtes et de recourir, le cas échéant, à la sonorisation des locaux, c'est-à-dire à la captation et à l'enregistrement des conversations qui s'y déroulent.»
Une proposition jugée provocatrice
Sans complexe, le député français préconise donc d'offrir à l'administration pénitentiaire la possibilité de recourir à la «sonorisation des locaux de détention pouvant constituer des lieux propices au prosélytisme radical: salles de culte, bibliothèques, salles de sport, cours de promenade, ateliers, etc.»Lire la suite sur Le Figaro
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire