Un syndicaliste de l’UFAP-UNSA Justice dénonce la surpopulation à la maison d’arrêt. Il pointe les risques de la promiscuité.
Une trentaine de surveillants exercent à la maison d’arrêt.
« 21 détenus dorment sur des matelas posés à même le sol. » Délégué de L’UFAP-UNSA Justice Jean-Michel Le Breton dénonce, avec virulence, « la surpopulation au sein de la maison d’arrêt ». « Nous avons aujourd’hui 92 détenus.»
Courtes peines
Des chiffres effarants quand on sait que Vannes dispose d’une capacité de 46 places.Maison d’arrêt Vannes accueille des prisonniers en attente de jugement ou des condamnés à des peines en principe inférieures à un an.Déplacer des détenus
« On arrive à un seuil de surpopulation qui nous oblige à déplacer des détenus », confirme le directeur Xavier Rideau.Lirela suite sur Ouest-france
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