Il n'avait pas réintégré la maison d'arrêt après une permission, en octobre 2012. Il a été interpellé lundi à Saint-Nazaire.
Pendant deux ans, ce jeune homme de 24 ans s'est fait très discret. Le 12 octobre 2012, alors qu'il était détenu à la maison d'arrêt de Nantes, il avait obtenu du juge d'application des peines une permission de sortie pour honorer un rendez-vous à la mission locale. Il aurait dû réintégrer sa cellule à 18 h 30, mais le personnel pénitentiaire ne l'a jamais vu revenir.
Il n'était pas allé très loin pour se cacher. Visé par un mandat de recherche, il avait trouvé refuge au domicile de sa mère, à Saint-Nazaire, sa ville natale. Là où, lundi, lors d'un banal contrôle de la voiture dont il était passager, il a été reconnu et interpellé par les policiers.
Hier, lors de sa comparution en urgence devant le tribunal correctionnel de Nantes, il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il sera jugé pour évasion le 21 janvier.
Le jeune homme n'en est pas à son coup d'essai. Avec vingt-cinq mentions au casier, il est archi-connu de la justice. Dès l'adolescence, il enchaîne les placements en centre éducatif fermé. Il est condamné à de multiples reprises pour vol aggravé, menaces de mort, outrages... Il ne sait plus à quel niveau il a arrêté sa scolarité ni le type de formation qu'il a entamée en prison lors d'une précédente peine.
Lorsqu'il a disparu de la circulation, en octobre 2012, il purgeait déjà une peine pour une première cavale de quatre mois, entamée en janvier de la même année. Il ne lui restait plus que quelques semaines à passer derrière les barreaux : il aurait dû être libéré le 2 janvier 2013.
Lire la suite sur Ouest-france
Il n'était pas allé très loin pour se cacher. Visé par un mandat de recherche, il avait trouvé refuge au domicile de sa mère, à Saint-Nazaire, sa ville natale. Là où, lundi, lors d'un banal contrôle de la voiture dont il était passager, il a été reconnu et interpellé par les policiers.
Hier, lors de sa comparution en urgence devant le tribunal correctionnel de Nantes, il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il sera jugé pour évasion le 21 janvier.
Le jeune homme n'en est pas à son coup d'essai. Avec vingt-cinq mentions au casier, il est archi-connu de la justice. Dès l'adolescence, il enchaîne les placements en centre éducatif fermé. Il est condamné à de multiples reprises pour vol aggravé, menaces de mort, outrages... Il ne sait plus à quel niveau il a arrêté sa scolarité ni le type de formation qu'il a entamée en prison lors d'une précédente peine.
Lorsqu'il a disparu de la circulation, en octobre 2012, il purgeait déjà une peine pour une première cavale de quatre mois, entamée en janvier de la même année. Il ne lui restait plus que quelques semaines à passer derrière les barreaux : il aurait dû être libéré le 2 janvier 2013.
Lire la suite sur Ouest-france
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire