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mardi 3 février 2015

Meurtre à Rennes - L'ADN parle dix ans après, un homme en garde à vue

En septembre 2004, une étudiante originaire de Brest avait été tuée de 21 coups de couteau à Rennes. Dix ans plus tard, l'ADN d'un détenu de la prison d'Argentan a parlé.

Lucie Beydon avait été tuée de 21  coups de couteau dans son appartement de la rue Gambetta à Rennes.

Lundi matin, un détenu de 37 ans de la prison d'Argentan, originaire de Saint-Brieuc, a été placé en garde à vue pour le meurtre de Lucie Beydon.

Cette étudiante originaire de Brest, tuée de 21 coups de couteau, dans la nuit du 3 au 4 septembre 2004 et dont on n'a jamais retrouvé le meurtrier.

Mystère

Le corps de la jeune femme avait été découvert le dimanche 5 septembre 2004, dans son appartement, au 3e étage d’un petit immeuble du centre-ville de Rennes.
Dans le logement, pas de trace de lutte. L’étudiante aurait vraisemblablement ouvert sa porte. Mais à qui ? Pendant des années, les enquêteurs de la PJ ont tenté de percer le mystère.

Série de cambriolages

Aucune empreinte n’avait été retrouvée sur la scène de crime. En revanche, des coussins tachés de sang provenant de l’appartement de la victime avaient été découverts dans un parc à 200 mètres du domicile de la victime. Un ADN inconnu y était détecté.
En 2014, un ADN parle enfin. C’est celui du suspect de 37 ans. Il vient d’être condamné à trois ans ferme pour une série de cambriolages.

Déjà entendu en 2004

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