Jeudi soir, peu après 19h30, une voiture s'arrête devant l'entrée de la maison d'arrêt de Nîmes . Un homme en descend et tire à la kalachnikov sur la porte d'entrée et le local d'accueil des familles de l'établissement pénitentiaire avant de repartir sans faire de blessé.
Une enquête pour "violence volontaire avec arme", "destruction d'un bien destiné à l'utilité public", "détention d'arme" et "association de malfaiteurs" a été ouverte par le parquet. Sur place, la police judiciaire a retrouvé une dizaine d'étuis de cartouches typique des fusils d'assaut et mitrailleuses.
Malgré le déploiement des forces de l'ordre, l'auteur des coups de feu n'a pas été encore retrouvé et les enquêteurs ne connaissent pas ses motivations.
«Heureusement aucun collègue n'était à proximité. L'homme a visé intentionnellement la façade», dénonce Laurens Maffre, secrétaire du syndicat UFAP UNSa Justice Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon qui explique que l'établissement a une capacité initiale de 150 places pour plus de 300 détenus.
Face à cette «attaque d'un symbole de l'Etat», et dans le cadre du plan Vigipirate, ce dernier demande à ce que «tous les établissements pénitentiaires soient placés sous surveillance policière. rien que le week-end dernier à Nîmes, plusieurs objets ont été lancés par-dessus les murs», déplore le syndicaliste.
20 Minutes
«Heureusement aucun collègue n'était à proximité. L'homme a visé intentionnellement la façade», dénonce Laurens Maffre, secrétaire du syndicat UFAP UNSa Justice Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon qui explique que l'établissement a une capacité initiale de 150 places pour plus de 300 détenus.
Face à cette «attaque d'un symbole de l'Etat», et dans le cadre du plan Vigipirate, ce dernier demande à ce que «tous les établissements pénitentiaires soient placés sous surveillance policière. rien que le week-end dernier à Nîmes, plusieurs objets ont été lancés par-dessus les murs», déplore le syndicaliste.
20 Minutes
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