Drôle d’affaire que celle dénoncée par le syndicat de personnel pénitentiaire UFAP Unsa Justice.
Dimanche, aux parloirs du centre pénitentiaire de Valence, un détenu du quartier maison centrale s’était confortablement installé en calfeutrant les vitres de surveillance avec des tee-shirts.
Arguant qu’il souhaitait avoir plus d’intimité avec sa femme en cette saint-Valentin.
Liens commerciaux :
Malgré les protestations des agents, celui n’a pas voulu respecter le règlement. Pour ne pas créer d'incident majeur, la direction, alertée, aurait décidé de fermer les yeux.
Ledauphine.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire