A la maison d'arrêt de Grasse, à l'abri des regards des autres détenus, cinq personnes emballaient des godemichets pour une enseigne spécialisée dans le libertinage.
Problème, 4 des 5 hommes affectés à cette tâche sont détenus pour des infractions à caractère sexuel.
La maison d'arrêt de Grasse ne ressemble pas à première vue à une fabrique de sex toys et pourtant depuis lundi, à l'abri des regards des autres détenus, cinq personnes emballaient des godemichets pour une enseigne spécialisée dans le libertinage. Problème, 4 des 5 hommes affectés à cette tâche sont détenus pour des infractions à caractère sexuel.
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C'est surtout pour les familles que c'est choquant
"C'est surtout pour les familles que c'est choquant. Et c'est choquant aussi en matière de thérapie pour ces détenus qui sont a priori malades et victimes de pulsions, " indique Hervé Segaud, représentant local Fo Pénitentiaire.
Selon nos informations, compte tenu de la polémique, l'atelier emballage de sex toys a été fermé vendredi.
France 3
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