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mardi 6 mars 2018

Macron à Agen : circulation perturbée, et prière de ne pas oublier ses papiers...

Dans les boîtes à lettres des riverains de l'École d'administration pénitentiaire (ENAP) d'Agen, la police municipale a glissé un mot samedi. 

Macron à Agen : circulation perturbée, et prière de ne pas oublier ses papiers...

Il porte sur les conditions d'accès au quartier à partir de mardi matin, quelques heures avant la venue d'Emmanuel Macron dans la ville préfecture.



Ce petit mot indique que les accès aux rues, impasses et avenues vont être restreints entre 12 et 20 heures, rien de moins.

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Du côté de la direction de la sécurité publique (DDSP), il est conseillé aux automobilistes «d'éviter de circuler dans ce quartier et d'emprunter d'autres voies de circulation» pendant cette période. Macron est censé entrer à l'ENAP vers 15 heures.

Comme tout voyage officiel, sa venue est entourée de précautions multiples. Les prescriptions de stationnement et de circulation sont identiques autour de la place Armand-Fallières, du palais de justice et de la préfecture dès ce matin.

Il va falloir être un peu patient…

Ce quartier du cœur de la ville doit être bouclé une demi-journée avant le buffet sur le pouce du chef de l'État avec une mini-délégation d'élus du département sous les ors de la République entre 20 et 21 heures.

La sécurisation du 3e site, à Estillac, rive gauche de la Garonne, dans les locaux de jechange.fr, est sous la compétence territoriale des gendarmes cette fois. Il convient là aussi d'être patient, le cortège présidentiel doit emprunter des voies de circulation en règle générale très utilisées en fin d'après-midi, pour les trajets domicile-travail. Ralentissements à prévoir.

Précaution liminaire, ne pas oublier une pièce d'identité. Les contrôles vont se multiplier au cours de cette journée de mardi. Aucun chiffre n'est confirmé de source officielle, mais près de 400 policiers compte tenu des trois compagnies de CRS mobilisées, compte non tenu des gendarmes également sur le pont et des fonctionnaires de police du SDLP, le service de protection des hautes personnalités.

La Dépêche

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