Les juges ont ordonné le maintien en détention provisoire de l'intellectuel musulman, en s'appuyant sur un rapport d'expertise informatique qui fragilise sa défense.
La troisième demande de mise en liberté de Tariq Ramadan, incarcéré depuis sept mois pour des soupçons de viols qu'il conteste, a été rejetée par la justice, selon des informations révélées mercredi par le Muslim Post et confirmées à Europe 1.
Un rapport d'expertise fragilise la défense.
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Les juges se sont appuyés sur un rapport d'expertise informatique qui révèle des incohérences dans le discours de l'intellectuel musulman.
Dans son téléphone portable, les enquêteurs ont notamment retrouvé des SMS à caractère sexuel adressés à la deuxième plaignante, avec qui il a toujours nié avoir eu des relations sexuelles.
Europe 1
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