A son retour en prison, mercredi 12 décembre, Jawad Bendaoud s'est rendu compte que son iPhone avait été volé. Il est alors rentré dans une colère noire, révèle Closer.
Son iPhone, c'est toute sa vie. Jawad Bendaoud, qui est en ce moment jugé dans le cadre d'un procès en appel sur son implication dans les attentats du 13 novembre, dépose tous les jours ses effets personnels à la compagnie de garde de la zone d'attente du tribunal.
Le soir, en repartant pour sa cellule de Fleury-Merogis, sa fouille est censée suivre.
Oui mais voilà. Selon les informations de Closer, en rentrant à la prison, mercredi 12 décembre, Jawad Bendaoud s'aperçoit du vol de son iPhone. Et là, c'est le scandale. Jawad Bendaoud entre alors dans une colère noire.
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Il ne menace pas directement le personnel, sans doute échaudé par sa récente condamnation pour menace de mort à l'encontre d'une partie civile au procès des attentats. Mais cela ne l'empêche pas de menacer de tout casser.
À 2 heures du matin, la colère de Jawad est de plus en plus forte...
Comme c'est "un justiciable faisant l'objet d'une attention médiatique soutenue", ainsi que l'écrit l'administration dans son rapport, la police qui veille à la sécurité des biens et des détenus lors des transferts de prisonniers est priée de se plier en quatre pour enquêter sur la disparition de son portable.
Il faut dire qu'il est 2 heures du matin et la colère de Jawad Bendaoud est de plus en plus vive. C'est un prisonnier, précise le rapport, connu pour sa virulence. Au point qu'il est escorté par le service spécialisé qui accompagne les détenus particulièrement surveillés jusqu'à leur lieu de détention.
Les voleurs venaient d'être libérés par la justice...
L'enquête démarre à 3 heures par le visionnage de la vidéosurveillance de la consigne du tribunal. Et très vite, un enquêteur identifie les voleurs : il s'agit de deux personnes venant d'être présentées à la justice, et qui venaient d'être libérées !
Les voleurs n'ont pas eu le temps de profiter de leur butin, et les policiers se sont rendus dès le lendemain réclamer le dû de Jawad Bendaoud.
Closer
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