Christophe Dettinger, condamné à un an de prison ferme aménageable en semi-liberté, a quitté la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis dans l’Essonne ce mercredi matin.
Christophe Dettinger a quitté la prison de Fleury-Mérogis dans l’Essonne ce mercredi matin comme l’avait annoncé son avocate mardi 19 février.
L’ex-boxeur avait été condamné à un an de prison ferme, aménageable en semi-liberté, et dix-huit mois de sursis avec mise à l’épreuve pour avoir frappé deux gendarmes lors de « l’acte 8 » des Gilets jaunes.
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« J’ai toujours une peine à faire, c’est toujours pénible, je n’ai pas été libéré comme ça, a confié à BFMTV Christophe Dettinger. Maintenant c’est le prix à payer. J’accepte cette peine », a-t-il confié à BFMTV qui l’a interrogé à sa sortie de prison tôt ce mercredi 20 février.
Bénéficiant désormais d’un régime de semi-liberté, il pourra reprendre un emploi en journée, mais « ses horaires sont très stricts puisqu’il doit regagner le centre de semi-liberté de Corbeil-Essonnes juste après son travail », a indiqué Me Léger.
Bénéficiant désormais d’un régime de semi-liberté, il pourra reprendre un emploi en journée, mais « ses horaires sont très stricts puisqu’il doit regagner le centre de semi-liberté de Corbeil-Essonnes juste après son travail », a indiqué Me Léger.
Christophe Dettinger, 37 ans, a été condamné mercredi 13 février pour avoir frappé un gendarme au sol, puis avoir asséné une série de coups de poing à un gendarme sur une passerelle surplombant la Seine samedi 5 janvier lors de l’acte 8 des Gilets jaunes. Pendant son procès, l’ancien boxeur avait dit regretter son geste.
Le tribunal correctionnel l’a également condamné à une interdiction de séjour à Paris pendant six mois et à indemniser ses victimes respectivement à hauteur de 2 000 et 3 000 €.
Ouest-france
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