Après la brève prise d'otage de dimanche, le personnel, et non les syndicats, de la prison de Laon a décidé de bloquer l'établissement: pas d'extractions depuis ce lundi matin 6h. Et si les parloirs sont assurés, toute autre entrée est impossible.
Dimanche, un détenu - Lewis Peschet, le meurtrier de Sonia Brunbrouck, selon les syndicats - a pris en otage un surveillant de la prison de Laon une vingtaine de minutes avec une arme qu'il avait fabriquée lui-même: il avait ajouté une lame à un Stabilo.
Il demandait son transfert dans un autre établissement. Ce qui semble incompréhensible aux agents pénitentiaires de Laon qui y voient un coup de folie du prisonnier: Lewis Peschet est en effet à l'isolement et originaire de la région.
Le détenu a été extrait de l'établissement ce lundi matin pour une garde à vue suite à cette prise d'otage. Il pourrait passer devant un juge en comparution immédiate.
Il s'agira de la seule sortie de la journée: le personnel a décidé de bloquer la prison pour signifier son ras-le-bol. Il s'agit d'un mouvement du personnel et non des syndicats. Les agents réclament une fouille générale de la prison.
C'est la 2ème prise d'otage en 15 jours à la prison de Laon: début avril, un détenu s'était enfermé à l'infirmerie avec un médecin qu'il menaçait d'une paire de ciseaux.
Il demandait son transfert dans un autre établissement. Ce qui semble incompréhensible aux agents pénitentiaires de Laon qui y voient un coup de folie du prisonnier: Lewis Peschet est en effet à l'isolement et originaire de la région.
Le détenu a été extrait de l'établissement ce lundi matin pour une garde à vue suite à cette prise d'otage. Il pourrait passer devant un juge en comparution immédiate.
Il s'agira de la seule sortie de la journée: le personnel a décidé de bloquer la prison pour signifier son ras-le-bol. Il s'agit d'un mouvement du personnel et non des syndicats. Les agents réclament une fouille générale de la prison.
C'est la 2ème prise d'otage en 15 jours à la prison de Laon: début avril, un détenu s'était enfermé à l'infirmerie avec un médecin qu'il menaçait d'une paire de ciseaux.
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