Un détenu de la maison d’arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis) a été libéré par erreur, jeudi, suite à un "défaut de coordination" entre la police aux frontières et le dépôt du tribunal de Bobigny.
C’est une évasion tout en douceur pour ce détenu de la maison d'arrêt de Villepinte en Seine-Saint-Denis, jeudi, après un cafouillage administratif qui a joué en sa faveur.
Reprenons : jeudi, cinq personnes sont déférées devant un juge des libertés et de la détention de Bobigny dans le cadre d'une enquête pour "abus de confiance" menée par la Police aux frontières (PAF), et datant de l’été 2012, souligne RTL.fr qui a révélé l’information.
A l'issue de l'audition, il sort par la grande porte
Parmi les cinq convoqués, un dénommé Rida qui se trouve en détention provisoire à la maison d'arrêt de Villepinte, dans le cadre d’une autre affaire, instruite à Paris, précise leparisien.fr. Tandis que les quatre personnes sont entendues librement, Rida arrivera sous escorte policière au tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis).
Selon les premiers éléments de l’enquête, à l’issue de l’audition chez le juge, ce dernier leur annoncera qu’un procès aura lieu le 17 juillet ; jusqu’à cette date, les cinq hommes sont laissés libres mais sont placés sous contrôle judiciaire.
Et c’est à ce moment que le couac intervient entre la police aux frontières et le dépôt du tribunal, où attende les détenus avant d'être entendus par un juge ou un magistrat. Rida quitte le tribunal de Bobigny avec les quatre autres personnes, alors qu’il aurait dû être escorté pour regagner sa cellule à la maison d’arrêt de Villepinte.
"Défaut de coordination"
Dans un communiqué, le parquet évoque un problème de communication : "Un défaut de coordination entre les services de police de la PAF et le dépôt du tribunal n'a pas permis que cette personne réintègre la maison d'arrêt sous escorte".
D’après le site d’RTL, c’est la prison qui a alerté la police car le détenu manquait à l’appel. L’homme est depuis activement recherché pour évasion.
En février dernier, le principal suspect d'un meurtre avait été libéré suite à un problème de fax au tribunal de Bobigny. Un document n'avait pas pu être imprimé et n'avait pas été transmis dans les délais prévus par la loi.
www.metronews.frReprenons : jeudi, cinq personnes sont déférées devant un juge des libertés et de la détention de Bobigny dans le cadre d'une enquête pour "abus de confiance" menée par la Police aux frontières (PAF), et datant de l’été 2012, souligne RTL.fr qui a révélé l’information.
A l'issue de l'audition, il sort par la grande porte
Parmi les cinq convoqués, un dénommé Rida qui se trouve en détention provisoire à la maison d'arrêt de Villepinte, dans le cadre d’une autre affaire, instruite à Paris, précise leparisien.fr. Tandis que les quatre personnes sont entendues librement, Rida arrivera sous escorte policière au tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis).
Selon les premiers éléments de l’enquête, à l’issue de l’audition chez le juge, ce dernier leur annoncera qu’un procès aura lieu le 17 juillet ; jusqu’à cette date, les cinq hommes sont laissés libres mais sont placés sous contrôle judiciaire.
Et c’est à ce moment que le couac intervient entre la police aux frontières et le dépôt du tribunal, où attende les détenus avant d'être entendus par un juge ou un magistrat. Rida quitte le tribunal de Bobigny avec les quatre autres personnes, alors qu’il aurait dû être escorté pour regagner sa cellule à la maison d’arrêt de Villepinte.
"Défaut de coordination"
Dans un communiqué, le parquet évoque un problème de communication : "Un défaut de coordination entre les services de police de la PAF et le dépôt du tribunal n'a pas permis que cette personne réintègre la maison d'arrêt sous escorte".
D’après le site d’RTL, c’est la prison qui a alerté la police car le détenu manquait à l’appel. L’homme est depuis activement recherché pour évasion.
En février dernier, le principal suspect d'un meurtre avait été libéré suite à un problème de fax au tribunal de Bobigny. Un document n'avait pas pu être imprimé et n'avait pas été transmis dans les délais prévus par la loi.
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