Quatre détenus sont poursuivis pour s'être livrés à un trafic de résine de cannabis au sein de la maison d'arrêt. Leur fournisseur, un Lannionais âgé de 18 ans, a été écroué.
Depuis deux mois, plusieurs détenus de la maison d'arrêt de Saint-Brieuc étaient placés sous écoutes téléphoniques dans le cadre du démantèlement d'un trafic de résine de cannabis.
Mardi matin, sur réquisition du procureur de la République, les policiers ont procédé à une fouille de cellules. Ils y ont trouvé quelques grammes de cannabis. Quatre détenus ont alors été interpellés. Dans le même temps, un Lannionais de 18 ans, soupçonné d'être le fournisseur, a été arrêté. Lors de la perquisition à son domicile, les policiers ont mis la main sur deux kilos de résine de cannabis et 1 800 € en liquide.
Pendant les parloirs
Une dizaine de compagnes et d'amis de détenus, qui vont être poursuivis, sont suspectés d'avoir livré les produits stupéfiants et des cartes Sim pour les téléphones portables, à l'occasion de parloirs. Les livreurs repartaient de la prison avec de l'argent liquide pour racheter d'autres produits au fournisseur qui, lui, ne mettait jamais les pieds à la prison. Le cannabis était revendu à des détenus.
À l'issue des gardes à vue, les cinq hommes, âgés de 18 à 27 ans, ont été présentés devant le tribunal correctionnel pour y être jugés en comparution immédiate, hier après-midi.
Lire la suite sur Ouest-France
Mardi matin, sur réquisition du procureur de la République, les policiers ont procédé à une fouille de cellules. Ils y ont trouvé quelques grammes de cannabis. Quatre détenus ont alors été interpellés. Dans le même temps, un Lannionais de 18 ans, soupçonné d'être le fournisseur, a été arrêté. Lors de la perquisition à son domicile, les policiers ont mis la main sur deux kilos de résine de cannabis et 1 800 € en liquide.
Pendant les parloirs
Une dizaine de compagnes et d'amis de détenus, qui vont être poursuivis, sont suspectés d'avoir livré les produits stupéfiants et des cartes Sim pour les téléphones portables, à l'occasion de parloirs. Les livreurs repartaient de la prison avec de l'argent liquide pour racheter d'autres produits au fournisseur qui, lui, ne mettait jamais les pieds à la prison. Le cannabis était revendu à des détenus.
À l'issue des gardes à vue, les cinq hommes, âgés de 18 à 27 ans, ont été présentés devant le tribunal correctionnel pour y être jugés en comparution immédiate, hier après-midi.
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