Violence. Après une fouille des cellules de la maison d’arrêt d’Évreux, un détenu s’en était pris à un surveillant.
Alors que les fonctionnaires de la prison fouillent une nouvelle fois les cellules des détenus, l’ambiance s’échauffe. Aboubakri N’Diaye, âgé de 22 ans, avoue être énervé d’avoir perdu sa carte de sortie lors de la fouille. Le surveillant lui dit qu’il devra payer cette carte et le taquine : « C’est dur la prison ! » lui aurait-il lancé à plusieurs reprises. Alors que les détenus regagnent leur cellule, le surveillant repasse devant le jeune homme et lui dit bonsoir. Le prévenu ne répond pas et le fonctionnaire rétorque alors : « T’as l’air grognon ! » Excédé, Aboubakri N’Diaye lui répond vulgairement en le tutoyant et en le secouant.
Son de cloches divergent
Pour le surveillant, ce sont des coups et des menaces de mort. Cependant, rapporte l’avocat de la défense, les surveillants témoins de la scène avouent ne pas avoir vu de coups de poing lancés par Aboubakri N’Diaye, ni entendu de menaces de mort.
« Pourquoi titiller ainsi un détenu ? »
Le conseil du jeune homme demande quel intérêt le surveillant a à titiller et provoquer un détenu déjà sous pression ?...
Lire la suite sur www.paris-normandie.fr
Son de cloches divergent
Pour le surveillant, ce sont des coups et des menaces de mort. Cependant, rapporte l’avocat de la défense, les surveillants témoins de la scène avouent ne pas avoir vu de coups de poing lancés par Aboubakri N’Diaye, ni entendu de menaces de mort.
« Pourquoi titiller ainsi un détenu ? »
Le conseil du jeune homme demande quel intérêt le surveillant a à titiller et provoquer un détenu déjà sous pression ?...
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