Un homme de 24 ans s'en était pris à l'un de ses gardiens parce qu'il n'avait pu avoir accès à la salle de musculation du centre pénitentiaire de Pémégnan
« Je suis un détenu et ma parole ne vaut pas grand-chose », a rétorqué le prévenu, transféré depuis dans un autre centre pénitentiaire et qui n'avait même pas pris la peine de désigner un avocat. Prévue le 23 juillet 2017, sa date de sortie a été repoussée de quatre mois. Il devra verser 500 euros à sa victime.
Sud Ouest
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