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vendredi 18 septembre 2015

Le détenu frappe un surveillant de la maison d'arrêt : quatre mois ferme

Dans l'affaire suivante, le prévenu n'est pas davantage présent. Mais lui a une excuse. Il est en cure pour ses problèmes d'alcool et de stupéfiants.
 
« C'est quelqu'un de malade. Il a des trous de mémoire et des hallucinations », explique son avocate.
 
Le 15 septembre dernier, alors détenu à la maison d'arrêt de Saint-Brieuc, le quadragénaire apparaît comme agité et incohérent aux yeux du personnel pénitentiaire.   
Et lorsqu'une infirmière lui refuse les médicaments qu'il réclame, sa colère éclate.
Un surveillant en fait les frais. Coups de pied, de poing, de coude. L'homme est finalement maîtrisé, mais sa victime récolte deux jours d'ITT.
 
Pour lui (déjà condamné à dix reprises), ce sera quatre mois de prison ferme et 300 € de dommages et intérêts.   

www.letelegramme.fr

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