L'intersyndicale réunissant les trois principales organisations dénonce un manque de moyens, des effectifs en baisse et une sécurité précaire.
Et l'intersyndicale réunissant les trois principaux syndicats de surveillants, l'Ufap-Unsa, la CGT et FO, menace de lancer des actions si la situation ne change pas d'ici à la fin du mois.
C'est une note d'Isabelle Gorce, la directrice de l'Administration pénitentiaire, qui a déclenché cet ultimatum brutal.
Alors que ce texte se voulait pacificateur et laudateur pour des personnels soumis à rude épreuve et en sous-effectif patent, il a produit l'effet inverse.
«Nous n'avons ni moyens ni effectifs et l'on nous dit que tout va bien!, tempête Jean-François Forget, le secrétaire général de l'Ufap-Unsa. Il manque au bas mot 1 200 surveillants...
Le Figaro
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