En plein centre-ville, derrière la gare de Rennes, le centre pénitentiaire des femmes compte en ce moment 232 détenues. Malgré l’emprisonnement, certaines vont au boulot.
À 7 h 30, le brouhaha des machines à coudre démarre. C’est comme ça, toute la semaine, dans l’atelier confection de la prison des femmes.
Au rez-de-chaussée, il y a l’atelier du « linge plat » pour les draps, le matelassage… Et au troisième étage, les femmes, en détention préventive pour certaines, fabriquent des calendriers pour une société privée et collent des affiches publicitaires sur des supports cartonnés.
Liens commerciaux :
L’enfermement n’exclut pas le travail. Ce dernier est même recommandé, pour continuer (ou apprendre) à se lever tous les matins, être autonome financièrement…
Travailler, c’est commencer à préparer l’après. Même s’il viendra de longues années plus tard. « La réinsertion se prépare...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire