Et c'est censé représenter la classe ouvrière... Ce n'est plus la "main dans le pot de confiture", c'est le bras ! ça y va les €€€€€. Quant à la transparence...
Le secrétaire général du syndicat a bénéficié d'une rupture conventionnelle lorsqu'il a quitté la CGT Basse-Normandie pour passer à la CGT au niveau national.
Thierry Lepaon n’en a pas fini de se justifier. Après sa rénovation d'appartement à 105.000 euros, sa rénovation de bureau à 62.000 euros, le secrétaire général de la CGT est de nouveau mis en cause. Cette fois, il est question des conditions de son passage de la CGT Basse-Normandie à la tête de la CGT nationale. Comme le révèle "l’Expansion" lundi 1er décembre, le syndicaliste a bénéficié d'une rupture conventionnelle. Et il a donc touché des indemnités - dont le montant n'est pas précisé - alors qu'il est resté à la CGT.
Rien d'illégal, car la CGT régionale et la CGT nationale sont distinctes d'un point de vue administratif. "Je changeais d'employeur", a d'ailleurs répondu l'intéressé à "l'Expansion". Néanmoins, le fait de toucher des indemnités de départ tout en restant à la CGT, ne risque pas de restaurer son image. D'autant que le syndicat était opposé à ce dispositif de rupture conventionnelle lors de sa création en 2008.
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