Un détenu dénonçait des violences lors d’un transfert de cellule. Après auditions, aucune poursuite n’a été retenue contre les quatre surveillants pénitentiaires.
Ils ont ensuite été entendus pendant 10 heures au commissariat d’Alençon dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet suite au dépôt de plainte d’un détenu du Quartier de prise en charge de la radicalisation (QPR).
« Aucune poursuite retenue »
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Ce dernier affirme avoir été victime de violence lors d’un transfert de cellule, il y a une quinzaine de jours. « Il se plaignait d’avoir reçu des coups », explique une source syndicale. « Une enquête a donc été ouverte pour tenter d’établir la vérité sur ce dossier », confie le procureur de la République d’Alençon.
À l’issue des 10 heures de garde à vue, les quatre surveillants ont été laissés libres. « Aucune poursuite n’a été retenue contre eux. Tout ce qui a pu être examiné atteste qu’ils ont eu des gestes professionnels alors que le détenu simulait un malaise », précise un syndicaliste
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