Il sous-louait sa maison de fonction dans la prison sur le Bon Coin !
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mardi 30 septembre 2014
Nantes - Insolite : Ils font la fête à la prison
Samedi soir une centaine de personnes se sont retrouvés à l'ancienne maison d'arrêt de Nantes pour une fête décalée organisée par une jeune société de communication nantaise.
Drôle d'endroit pour une soirée. Samedi à l'initiative d'All 6, une jeune société de com nantaise, une centaine de personnes se sont retrouvés pour faire la fête dans l'ancienne maison d'arrêt de Nantes, désaffectée depuis 2013. Première du genre à Nantes, cette fête décalée est organisée suivant le principe du « Dîner en blanc » à Paris.
Polynésie - Papeari accueillera ses premiers détenus en 2017
Une visite de chantier a eu lieu ce lundi matin sur le site du futur centre de détention “nec plus ultra” de Polynésie française.
Isabelle Gorce, la directrice de l’administration pénitentiaire et Laurent Ridel, directeur interrégional de l’outre-mer ont pu constater l’avancement des travaux.
A leur côtés également, plusieurs officiels, dont le Haut-commissaire Lionel Beffre, le procureur de la République José Thorel, ainsi que le tavana de la commune Tearii Alpha.
Sequedin - deux surveillantes de prison agressées par une détenue mineure
Il n’y avait pourtant plus de quartier pour mineurs à la prison de Sequedin depuis 2008. Mais lundi matin, à 9 h 30, deux surveillantes de la maison d’arrêt ont été agressées par une détenue, âgée de 15 ans environ.
Selon plusieurs sources pénitentiaires, la jeune fille avait été transférée il y a peu de la prison des Baumettes, à Marseille, où elle aurait agressé un membre du personnel. Le motif de ce transfèrement est le rapprochement familial, l’adolescente prisonnière étant originaire de la région lilloise.
lundi 29 septembre 2014
Chateaudun - Il n’avait pas pu assister aux obsèques de son enfant : l'Etat verse 1.500 euros à un détenu de Châteaudun
Un Orléanais de 39 ans, détenu à la prison de Châteaudun, sera indemnisé par l’État après que les gendarmes ont refusé de l’extraire de sa cellule, alors qu’il devait assister aux obsèques de son enfant.
C’est ce que vient de décider le tribunal administratif d’Orléans, qui a fixé le montant de la réparation à 1.500 euros. L’intéressé avait saisi la justice au regard des règles édictées par la Convention européenne de la sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Luis avait été condamné, en janvier 2011, par la cour d’appel d’assises du Loiret à treize ans de réclusion criminelle, pour avoir tué un homme, en août 2008, à Orléans.
Luis avait été condamné, en janvier 2011, par la cour d’appel d’assises du Loiret à treize ans de réclusion criminelle, pour avoir tué un homme, en août 2008, à Orléans.
Contrainte pénale : l’application à marche forcée
L'administration pénitentiaire a les mains moites : la peine de probation, rebaptisée « contrainte pénale », a eu beaucoup de mal à se frayer un chemin jusqu'au Parlement – Christiane Taubira, la garde des sceaux, avait présenté le projet en conseil des ministres dès le 9 octobre 2013 –, mais la loi a été définitivement adoptée le 17 juillet et promulguée le 15 août.
Elle entre en vigueur mercredi 1er octobre. C'est court, très court.
Rennes - Interpellé après deux heures d’évasion
Ce dimanche matin un détenu qui venait de s’évader de l’établissement psychiatrique où il était hospitalisé a été interpellé après deux heures de cavale.
L’homme âgé de 26 ans se trouvait au centre hospitalier Guillaume Régnier après avoir tenté de mettre fin à ses jours à la prison de Rennes-Vezin-le-Coquet où il est détenu.
Vers 00 h 15 il a réussi à quitter l’hôpital habillé d’un simple pyjama.
Tarascon - Un détenu en cavale incarcéré après des braquages
Un détenu multirécidiviste en fuite, interpellé vendredi matin dans les Pyrénées-Orientales après avoir commis cette semaine deux braquages dans le Vaucluse et plusieurs vols de voitures, a été mis en examen et écroué dimanche, a-t-on appris auprès du parquet d'Avignon.
L'homme, âgé de 26 ans, a reconnu lors de son audition avoir commis deux vols à main armée mercredi, l'un dans un bureau de poste à Cheval-Blanc, le second dans une bijouterie à Cavaillon, et cinq vols de voitures sous la menace d'une arme dans quatre départements différents (Bouches-du-Rhône, Gard, Vaucluse et Alpes-Maritimes). Deux véhicules ont été retrouvés incendiés.
Lorient - Des parloirs rénovés pour le second semestre 2015
Recevoir les familles dans de bonnes conditions est également une des priorités affichées par le nouveau directeur, Jean-Paul Chapu, arrivé en mars dernier, au centre pénitentiaire.
« Permettre aux familles d'attendre les parloirs dans une ambiance sereine et respectueuse est une prestation qui est essentielle. Et, proposer un accueil non institutionnel par des bénévoles permet d'avoir une approche différente. Ces bénévoles donnent beaucoup et sont très disponibles. J'accorde beaucoup d'importance à cet accueil. En la matière, il n'y a pas de petits gestes. Nous avons décidé de rendre ce lieu plus agréable, d'abord en lui redonnant un peu de couleurs. Les détenus sont également associés pour améliorer cet espace. Ils ont, par exemple, contribué à réaliser les deux affiches rappelant les objets et effets autorisés et ceux qui sont interdits. Cet affichage réalisé sous forme de dessins permet d'être accessible à tous. »
Deux nouveaux parloirssamedi 27 septembre 2014
Prisons: le nombre des détenus en baisse
Le nombre de détenus en France a connu une baisse de 1,1% sur un mois et atteignait 66.354 personnes au 1er septembre, selon des chiffres publiés aujourd'hui par l'administration pénitentiaire.
La population détenue est également en baisse sur un an (-1,1%). Sur les 66.354 détenus, 49.454 sont des condamnés et 16.900 des prévenus (en attente de jugement). Les mineurs incarcérés sont au nombre de 690 (1% des personnes incarcérées), un chiffre en baisse de 7,1% par rapport au mois précédent.
La population détenue est également en baisse sur un an (-1,1%). Sur les 66.354 détenus, 49.454 sont des condamnés et 16.900 des prévenus (en attente de jugement). Les mineurs incarcérés sont au nombre de 690 (1% des personnes incarcérées), un chiffre en baisse de 7,1% par rapport au mois précédent.
Nantes - Retour sur l’incroyable histoire de Stéphane Goetz, « l’écorché vif »
Fin de cavale. Ce vendredi, il est de nouveau enfermé, quelque part en Hollande.
A 15 ans, Stéphane Goetz connaît sa première incarcération
Grâce à un travail de « collaboration entre les services de police locaux » et l'Office central de lutte contre le crime organisé (Oclo) de la police judiciaire française, Stéphane Goetz, 28 ans, a été rattrapé (comme le révélait Presse Océan ce matin). Ces dix mois de liberté volée risquent de lui coûter cher. Il le sait.
Vivonne - Il boxe trois surveillants
Il espérait dans un proche avenir défendre un aménagement de peine après une lourde condamnation aux assises. C'était pour le meurtre de son père à coups de sabre à Neuville, le 12 juillet 2010.
Douze ans de prison tombés sur lui à l'âge de 17 ans. Depuis, Kévin purge sa peine. Cahin-caha. Impulsif, il accumule les procédures disciplinaires. Mercredi, suite à un conflit banal, il joue des poings et colle trois gardiens au tapis. L'agression la plus violente commise sur des surveillants depuis l'ouverture du centre pénitentiaire en 2009.
Souffrant des ganglions sous les bras, Kevin explique avoir réagi instinctivement quand il a été touché à cet endroit-là lors de son altercation avec un gardien.
Intolérable pour Me Grandon, avocat des surveillants. Le procureur réclame six mois de prison. Pour quoi faire, réagit Me Takhedmit qui rejoue le procès d'assises de 2012.
Intolérable pour Me Grandon, avocat des surveillants. Le procureur réclame six mois de prison. Pour quoi faire, réagit Me Takhedmit qui rejoue le procès d'assises de 2012.
Un détenu qui s’était évadé de manière spectaculaire à Nantes rattrapé aux Pays-Bas
Un détenu qui s’était évadé de manière violente et spectaculaire, lors d’un transfert médical à Nantes en novembre 2013, a été rattrapé jeudi soir à Utrecht aux Pays-Bas, a-t-on appris vendredi auprès de la Direction générale de la police nationale (DGPN) française.
Stéphane Goetz, 27 ans, a été interpellé à l’issue d’une «étroite et bonne collaboration entre services de police judiciaire locaux» et l’Office central de lutte contre le crime organisé (Oclo) de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) française, a-t-on précisé de même source. Ce sont les policiers locaux qui l’ont arrêté, les Français étant présents en observateurs.
Agen - nouvelle journée de mobilisation des syndicats à l'Enap
Les organisations syndicales de l’École nationale de l'administration pénitentiaire (Enap) annoncent un rassemblement devant l'établissement mardi 7 octobre.
Rendez-vous est donné mardi 7 octobre prochain par trois syndicats
Elles sont trois. Trois organisations syndicales (UGSP-CGT, SNP-FO et Ufap Unsa Justice) lancent un appel à la mobilisation pour la journée du 7 octobre prochain. Dans leur ligne de mire, "certains propos du directeur de l'Enap" dans un article publié dans nos colonnes et pour lesquels les syndicats se disent "choqués". Et de parler également de "mépris affiché par la direction".
Les premiers «Jeux olympiques pénitentiaires» nationaux se terminent aujourd'hui
Plusieurs centaines de détenus ont participé depuis lundi, dans le Var, à cette première édition nationale. Objectif: améliorer les relations et aider à une réinsertion prochaine.
Aux quatre murs de cellules, substituer le sport et l'esprit d'équipe. Voilà l'ambition des Jeux pénitentiaires, compétition sportive organisée pour la première fois à l'échelle nationale par le Comité régional olympique sportif (Cros) Côte d'Azur et le ministère de la Justice. La cérémonie de clôture, célébrée ce vendredi à Saint-Raphaël-Bouroulis, dans le Var, marquera la fin d'une semaine d'épreuves sportives en tout genre rassemblant détenus de courte peine et personnel pénitentiaire. Au total, une quarantaine d'établissements y ont pris part, pour un total de 1500 participants.
vendredi 26 septembre 2014
Belgique - Prise d'otages entre détenus dans la prison de Louvain
Armé d'un couteau, l'homme refuse de quitter sa cellule où il retient ses trois co-détenus.
Polynésie - La directrice de l’administration pénitentiaire en mission au fenua
DÉLÉGATION. En Polynésie du vendredi 26 au lundi 29 septembre 2014.
La directrice de l’administration pénitentiaire va visiter le chantier de la future prison.
La directrice de l’administration pénitentiaire est en mission en Polynésie française.
Isabelle Gorce est accompagnée de Laurent Ridel, directeur inter-régional, chef de la mission Outre-mer.
Un surveillant de Sequedin agressé dans le métro à Lille par un ancien détenu
Z. a 34 ans, il est surveillant pénitentiaire depuis dix ans, dont quatre à la maison d’arrêt de Sequedin. Mercredi, dans le métro à Lille, il a subi une agression physique, pour la première fois.
« Je n’ai jamais eu de gros soucis. Pourtant j’habite à Lille, et des anciens détenus, j’en croise souvent. Je me suis déjà fait insulter, mais rien de grave par rapport à cette fois-ci. » Le lendemain, Z. porte une minerve et marche difficilement. Il garde tout de même assez d’énergie, de hargne même, pour témoigner.
Un nouveau directeur à la Maison d'arrêt de Montauban
Depuis le 2 juin, la Maison d'arrêt de Montauban a un nouveau directeur. Originaire de Bel Ile en Mer, José Bertheau a fait ses études en Bretagne, notamment à Brest.
Attaché à sa Bretagne natale, Jean Bertheau est un sportif aguerri, amateur de rugby, de moto et d'arts martiaux ; il pratique entre autres, le Krav Maga, un sport de combat de l'armée israélienne. Il est arrivé dans l'univers carcéral par les hasards de la vie et de la même manière, son travail l'a amené à Montauban. Une ville qu'il ne connaissait pas du tout, mais sa première impression est très bonne. Il y a trouvé une certaine douceur de vivre agréable et il apprécie de pouvoir circuler à pied en ville et d'aller faire son marché, sans stress.
Nîmes - avec une supopulation de 200 %, tension derrière les barreaux
La maison d'arrêt de Nîmes a célébré, cette semaine, ses quarante ans dans un contexte dangereux de surpopulation de 200 %.
Une situation extrêmement difficile de façon pérenne", "un miracle permanent" qui consiste à "maintenir les équilibres". C'est en ces termes que Georges Vin, le directeur interrégional des services pénitentiaires, a rendu hommage, mercredi, au travail effectué par la direction et les agents de la maison d'arrêt de Nîmes. L'établissement, qui célébrait lors d'une petite cérémonie son quarantième anniversaire, subit depuis de nombreuses années une surpopulation de l'ordre de 200 %, obligeant le personnel à gérer, au quotidien, un contexte tendu.
jeudi 25 septembre 2014
L'Actu dépasse les 1000 vues / jour
Le blog de l'Actu Pénitentiaire dépasse les 1000 pages vues par jour.
Hier, ont été vues 1059 pages précisément. Merci aux nombreux lecteurs de leur fidélité... :)
"Prison Cloud" est un système interne sécurisé grâce auquel les détenus peuvent consulter un certain nombre de sites internet depuis leurs cellules. Emails et chat interdits, quoique...
Le système informatique "ultra sécurisé" de la prison de Beveren ressemble à une passoire à en croire les informations rapportées jeudi par Het Nieuwsblad, De Standaard et Het Belang van Limburg.
"Chers journalistes, depuis des mois, nous pouvons envoyer des emails à coeur joie depuis notre cellule. De nombreux détenus poursuivent leurs activités criminelles par ce biais". Voilà le contenu d'un courrier électronique qu'a envoyé un locataire de la prison flandrienne à la rédaction du Nieuwsblad afin de démontrer les failles du système.
"Chers journalistes, depuis des mois, nous pouvons envoyer des emails à coeur joie depuis notre cellule. De nombreux détenus poursuivent leurs activités criminelles par ce biais". Voilà le contenu d'un courrier électronique qu'a envoyé un locataire de la prison flandrienne à la rédaction du Nieuwsblad afin de démontrer les failles du système.
Un détenu retrouvé pendu dans sa cellule à la prison de Saint-Quentin-Fallavier en Isère
Le détenu a été retrouvé pendu vers 19h30 ce mercredi 24 septembre 2014.
Selon un responsable régional UFAP-UNSA de l'administration pénitentiaire il s'agirait de l'homme qui a agressé et sérieusement blessé à coups de rasoir sa compagne lors d'un parloir en août dernier.
L’homme qui a mis fin à ses jours était l’auteur d’une agression particulièrement sanglante au sein du centre pénitencier le 6 août dernier.
mercredi 24 septembre 2014
France 3 (Vidéo) : Liancourt - Blocage
Ce mercredi 24 septembre, les gardiens de prison de Liancourt avaient prévu de manifester devant l'établissement pénitencier pour dénoncer leurs conditions de travail. Mais les gendarmes ont fait avorter leur tentative de rassemblement.
Ce n'est pas la première fois que les gardiens de prison de Liancourt manifestent pour dénoncer leurs conditions de travail qu'ils jugent dégradées : manque de personnel, insécurité croissantes. En mai 2013 ils se sont joints aux surveillants de prison de Laon et d'Amiens devant la préfecture de région afin de réclamer des moyens humains et financiers supplémentaires.
Bois d'Arcy - Devant Leclerc, trois ex-détenus s’en prennent à un surveillant
Un gardien de la maison d'arrêt de Bois d'Arcy (Yvelines) a été menacé par trois ex-détenus alors qu'il s'apprêtait à faire ses courses au supermarché.
Le cas est rare. Un gardien de la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy a porté plainte la semaine dernière, accusant trois anciens détenus d’actes d’intimidation. Les faits se sont déroulés sur le parking du centre commercial Leclerc de Bois-d’Arcy, à quelques centaines de mètres de la prison. Pour l’anecdote, l’un des trois mis en cause venait tout juste d’être libéré, depuis à peine quelques heures.
Mobilisation des surveillants à la prison de Liancourt
Ce matin, les surveillants du centre pénitentiaire de Liancourt, dans l’Oise, étaient à nouveau mobilisés à l’appel de l’intersyndicale.
Au cœur de leurs revendications : ils réclament la fin du poste « volant », mis en position systématiquement au retour d’un arrêt maladie, qui entraîne de fait la modification du planning prévisionnel. Ils dénoncent autant des suppressions de postes parmi les surveillants : « Ils sont aujourd’hui 12, contre 18 il n’y a encore pas tellement longtemps, pour surveiller trois bâtiments de quatre étages.
Le Havre - « Je suis archi bien en prison »
Un Havrais de 22 ans écope de 6 mois de prison ferme pour évasion. Il vante pourtant sa qualité de vie en détention.
«Moi, en prison, je suis archi bien, j’ai la belle vie », parade le détenu du centre pénitentiaire de Saint-Aubin-Routot. Pourtant ce Havrais de 22 ans se trouve dans le box du tribunal correctionnel suite à une évasion de dix-huit jours.
« Votre fin de peine théorique est le 27 décembre prochain », rappelle le président, en comparution immédiate. « Vous avez commencé à effectuer des démarches de réinsertion et vous avez demandé une permission de sortie. » Celle-ci est accordée pour le 29 août. De 8 à 15 heures. Le matin, la sœur du détenu vient le chercher, avant de le laisser à un ami. Quelques jours plus tard, interrogée par la police, elle assure ne pas avoir revu son frère.
« Votre fin de peine théorique est le 27 décembre prochain », rappelle le président, en comparution immédiate. « Vous avez commencé à effectuer des démarches de réinsertion et vous avez demandé une permission de sortie. » Celle-ci est accordée pour le 29 août. De 8 à 15 heures. Le matin, la sœur du détenu vient le chercher, avant de le laisser à un ami. Quelques jours plus tard, interrogée par la police, elle assure ne pas avoir revu son frère.
La maison d'arrêt de Perpignan se dote de filets anti-projections
Pour éviter le lancement d'objets divers par-dessus le mur d'enceinte de l'établissement, la prison de Perpignan vient de se doter de filets anti-projections.
L'installation des filets de protection a un coût d'environ 200 000 euros l'unité. Les travaux ont débuté il y a un mois et devraient être achevés fin septembre. Une solution pour éviter les objets divers lancés par-desssus le mur d'enceinte au sein de l'établissement.
Agen - après les critiques, le directeur de l'Enap s'explique
Cible de tracts syndicaux dénonçant ses méthodes, le directeur de l’École nationale de l’administration pénitentiaire (Enap), Philippe Pottier, dit appliquer le règlement.
Philippe Pottier : « Il y a un décalage énorme entre le contenu des tracts et ce qui est ressenti dans l’école. »
Les tracts syndicaux au ton acéré se multiplient depuis presqu'un an en interne, au sein de l'Enap (École nationale de l'administration pénitentiaire). Des tracts dénonçant l'attitude et les décisions du directeur, Philippe Pottier, arrivé en janvier 2013.
Nancy - Un vieux cambrioleur se suicide en prison
Sosie du professeur Choron, il était arrivé, vendredi dernier, dans le box des prévenus du tribunal correctionnel de Nancy avec un air blasé. Comparaître devant la Justice semblait pour lui faire partie de la routine.
Âgé de 71 ans, Claude M. est en effet un cambrioleur professionnel. Son casier judiciaire comporte 14 mentions et démarre au milieu des années 60. Il n’a jamais pris sa retraite. Il a comparu la semaine dernière, menottes aux poignets, pour une série de douze vols par effraction commis en Meurthe-et-Moselle et dans la Vosges, entre décembre 2010 et janvier 2013.
Un détenu se suicide au centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville
Un détenu septuagénaire a mis fin à ses jours par pendaison dans la nuit de lundi à mardi au centre pénitentiaire de Nancy — Maxéville (Meurthe-et-Moselle).
L’homme devait être jugé au mois d’octobre pour des faits de vols par effraction.
Macabre découverte mardi matin, un homme a été retrouvé pendu avec un lacet dans sa cellule au centre pénitentiaire de Nancy Maxéville (Meurthe-et-Moselle). C’est un gardien qui a découvert son corps lors de sa ronde matinale…
mardi 23 septembre 2014
Il avait cassé la mâchoire d'une surveillante, à la prison de Sequedin: six mois ferme
Un détenu de 32 ans a été jugé au tribunal de Lille et condamné à six mois de prison ferme. Le 30 juin dernier, très excité, il a « explosé » le Plexiglas d’une porte de la prison. Juste derrière se trouvait une chef de détention…
C’est une femme solidement plantée et dont le regard direct laisse penser qu’elle ne se laisse embarquer ni par l’émotion, ni par l’agressivité. Une chef de détention qui a tendance à considérer que les insultes, les gestes d’énervement de la part de détenus font partie des risques de son métier. Cela ressort du dossier. Alors, la plainte qu’elle a déposée cette fois contre Constantin Tuluc, 32 ans, en détention provisoire à la maison d’arrêt de Sequedin, n’en a que plus de poids.Vannes - L'évadé entame une course-poursuite pour échapper aux policiers
Folle course-poursuite à 100 km/h dans les rues de Vannes samedi soir.
Il est autour de 22 h lorsqu'une voiture de police banalisée, qui effectue une patrouille, se fait couper la priorité à l'intersection du boulevard de la Paix et de la rue Victor Hugo, au centre-ville de Vannes.
Une voiture, une Clio grise, avec deux personnes à bord, vient de griller le feu rouge à vive allure. Elle est immédiatement prise en chasse par la police tandis que l'automobiliste remonte la rue Victor-Hugo à contresens en faisant des écarts pour éviter d'être bloqué.
Dijon - les surveillants hors de cause dans l’affaire de « la quenelle »
Dans un communiqué, Marie-Christine Tarrare procureur de la République de Dijon, évoque les avancées de l’enquête sur « l’affaire de la quenelle » qui avait fait grand bruit à la maison d ‘arrêt de Dijon à l’automne 2013.
« Le 24 octobre 2013, votre journal publiait un article intitulé “Maison d’arrêt de Dijon : des quenelles qui tachent” accompagné notamment de deux photographies montrant des personnes portant des tenues de surveillants pénitentiaires en train de faire le geste de la “quenelle” […] ».
lundi 22 septembre 2014
La 1re édition nationale des Jeux Pénitentiaires
Du Lundi 22 septembre au vendredi 26 septembre la Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires PACA-Corse et le Comité Régional Olympique et Sportif de la Côte d’Azur organisent la 2e édition des Jeux Pénitentiaires PACA.
Le CROS Côte d’Azur a fait, des actions en milieu pénitentiaire pour inciter les détenus à la pratique sportive, sa spécificité.
dimanche 21 septembre 2014
Toul - En prison, il tentait d'obtenir un prêt en se faisant passer pour un surveillant
Un détenu de la prison de Toul a ouvert deux comptes bancaires en se faisant passer pour un gardien pour obtenir un prêt.
C'est un escroc vieille école, "courtois, avec beaucoup d'humour" et qui aurait agi "par amour du jeu et de l'adrénaline", a estimé son avocate Me Marlène Schott, confirmant une information de L'Est Républicain.
samedi 20 septembre 2014
Colmar - condamnés pour une évasion avec scie et drap…
Le tribunal correctionnel de Colmar a condamné, hier, quatre personnes pour une évasion de la maison d’arrêt en 2009.
« Une vraie évasion avec la lame de scie et le drap qui pend… » C’est ainsi que le procureur de la République Bernard Lebeau a résumé les faits reprochés à Marc Klein, 28 ans, hier au tribunal correctionnel de Colmar. Trois autres personnes comparaissaient pour complicité, un quatrième prévenu étant décédé entre-temps.
L’histoire remonte au 21 juin 2009. Vers 3 h du matin, un détenu de la maison d’arrêt de Colmar avait pris la poudre d’escampette après avoir scié, puis descellé les barreaux de sa cellule sous les yeux de son codétenu. Il avait ensuite utilisé un drap de bain pour descendre dans la cour en contrebas, puis était rentré dans le tribunal pour enfants voisin en grimpant à la gouttière et en cassant un carreau. Pour ressortir par une autre fenêtre, toujours à l’aide d’une gouttière. Là, un complice, le prévenu décédé, l’attendait avec une voiture.
L’histoire remonte au 21 juin 2009. Vers 3 h du matin, un détenu de la maison d’arrêt de Colmar avait pris la poudre d’escampette après avoir scié, puis descellé les barreaux de sa cellule sous les yeux de son codétenu. Il avait ensuite utilisé un drap de bain pour descendre dans la cour en contrebas, puis était rentré dans le tribunal pour enfants voisin en grimpant à la gouttière et en cassant un carreau. Pour ressortir par une autre fenêtre, toujours à l’aide d’une gouttière. Là, un complice, le prévenu décédé, l’attendait avec une voiture.
Du cannabis dans le soutien-gorge d’une femme de 75 ans au parloir de la prison de Béthune
Alors que cette Nordiste septuagénaire voulait passer le paquet sur demande de sa fille écrouée à la prison de Béthune, elle se fait arrêter au parloir.
Venue rendre visite à sa fille incarcérée à la prison de Béthune, cette Nordiste âgée de 75 ans s’est fait surprendre par les agents pénitentiaires. Sur injonction de sa fille, la septuagénaire avait rapporté un petit paquet dont elle ignorait le contenu. Metronews rapporte les faits. "Une Héninoise de 75 ans a été arrêtée, mercredi, à la prison de Béthune, en possession de cannabis." cite-t-il. La prison de Béthune où elle s’est rendue se trouve en région Nord-Pas-de-Calais.
Saintes - une dizaine de gardiens de la prison entendus
Cette inspection fait suite à une pétition de détenus, qui se plaignent à la fois du comportement des gardiens et de la mauvaise hygiène des lieux.
L'Inspection des services pénitentiaires auditionne depuis mardi une dizaine de gardiens de la prison de Saintes, accusés par un noyau de détenus de violences et insultes. La visite des bœuf-carottes de l'administration pénitentiaire devrait s'achever ce vendredi.
Un député UMP veut rendre le travail obligatoire en prison
Dans une proposition de loi, Jean-François Mancel souhaite que les détenus contribuent par leur travail à rembourser le coût de leur détention.
La prison de Saint Martin de Ré
C'est un serpent de mer législatif. Jean-François Mancel, député UMP de l'Oise, a déposé une proposition de loi afin de réintroduire le travail obligatoire en prison. Il estime que cela pourrait contribuer au financement de la détention et participerait à une meilleure réinsertion des détenus dans le monde du travail.
Escroquerie au crédit : le détenu de Toul se fait passer... pour un gardien
Jean-Louis Ribere, lé cinquantaine, est un escroc. Un vrai. Il assume. Il revendique presque les faits pour lesquels il est jugé.
Il faut dire qu’il y a de quoi mettre les rieurs de son côté. Le quinquagénaire est emprisonné à Toul (54).
Ecroué depuis plusieurs années, il purge une série de condamnations pour des escroqueries. Mais du fond de sa cellule, il a réussi à se faire ouvrir deux comptes dans une agence du Crédit Lyonnais à Marseille.
Marseille - coup de chaud à la prison des Baumettes
Les surveillants ont refusé de prendre leur travail et ont bloqué les lieux.
Les surveillants ont multiplié les affichages et bloqué l'entrée avec des palettes de bois, mais les CRS ont chargé.
Il est des ambiances qui en disent plus long que les plus longs discours. Au petit matin hier, le centre pénitentiaire des Baumettes à Marseille s'était fait une tête de révolté. Sa porte d'entrée avait été tapissée d'affichettes, comme autant d'éruptions cutanées qui auraient surgi en pleine nuit sur le malade surveillant.
vendredi 19 septembre 2014
Prison de la Santé - permis de visite épuisés
À peine publiée sur Internet, la possible visite de la prison de la Santé a été prise d'assaut. Tous les créneaux de visite sont depuis complets.
L'Administration pénitentiaire s'en doutait, mais pas à ce point. À peine publiée sur Internet, la possible visite de la prison de la Santé, lieu fermé par excellence, a été prise d'assaut. Tous les créneaux de visite (25 personnes toutes les demi-heures pendant deux jours!) sont depuis complets.
Aujourd'hui, alors que des millions de visiteurs vont arpenter Paris à la recherche d'un lieu d'exception, ils trouveront - comme toujours - portes closes à la Santé. Outre le côté éphémère de cette ouverture, due à une période de travaux et donc à l'absence de détenus, cette prison recèle son lot d'histoires mythiques.
Yvan Colonna conteste une décision de la justice à Toulon
L'assassin du préfet Erignac conteste une décision du ministère de la Justice qui avait renouvelé son statut de "détenu particulièrement surveillé" à la prison de La Farlède.
Le recours d'Yvan Colonna a été évoqué à la barre du tribunal administratif de Toulon ce jeudi, en l'absence de son avocat et d'un représentant du ministère de la Justice.
Christian Estrosi : « La Maison d’Arrêt doit rester à Nice »
Christian Estrosi a visité la Maison d’Arrêt de Nice ce vendredi. Lors de cette visite, le maire a annoncé les différents lieux de réimplantation de la prison. Trois choix sont proposés : la gare St-Roch, la caserne Auvare et la rénovation de la prison actuelle.
Surpeuplée et obsolète, la Maison d’Arrêt de Nice doit être rénovée. Oui mais voilà, le lieu n’a toujours pas été trouvé. Seule certitude pour Christian Estrosi : « La Maison d’Arrêt doit rester à Nice ».
jeudi 18 septembre 2014
Le terroriste Carlos passera bien le reste de sa vie en prison
Un pourvoi d'Ilich Ramirez Sanchez, alias Carlos, figure du terrorisme international des années 70 et 80, a été rejeté mercredi, rendant définitive sa dernière condamnation à la prison à vie pour 4 attentats commis il y a une trentaine d'années en France, selon une source judiciaire.
Cette peine, assortie d'une période de sûreté de 18 ans, a été prononcée en appel le 26 juin 2013 par la cour d'assises spéciale de Paris.
Prison pour avoir tué son codétenu qui ronflait
Un homme de 42 ans a été condamné par la justice française à dix ans de prison pour avoir tué en 2010 son codétenu, au motif que ce dernier ronflait trop fort.
La défense a plaidé sans relâche l'acquittement, mettant en doute le mobile et la cause de la mort, attribuée à une strangulation. Sous traitement médical, la victime ronflait fort, ce qui aurait provoqué de l'animosité avec d'autres voisins de cellule de la maison d'arrêt de Vannes (ouest).
L'accusé aurait donc proposé à la victime de le rejoindre dans sa cellule. Titulaire d'un CAP de boulangerie, vivant encore chez ses parents, l'accusé avait déjà été condamnée pour des faits de conduite en état d'ébriété, de vols et de violences. Les experts ont décrit un homme susceptible d'être impulsif et agressif.
L'accusé aurait donc proposé à la victime de le rejoindre dans sa cellule. Titulaire d'un CAP de boulangerie, vivant encore chez ses parents, l'accusé avait déjà été condamnée pour des faits de conduite en état d'ébriété, de vols et de violences. Les experts ont décrit un homme susceptible d'être impulsif et agressif.
Seysses - Un second couteau découvert à la prison
«Faut-il qu'il y ait un assassinat pour que l'administration pénitentiaire réagisse à la maison d'arrêt de Seysses ?» s'insurge Jean Christophe Sanchez au nom du syndicat UFAP-UNSA, majoritaire au ministère de la justice.
Une seconde arme blanche, un couteau manufacturé doté d'une lame de 12 centimètres a été découvert dans une cellule (La Dépêche d'hier).
Pour le syndicat, «une fouille complète de l'établissement s'impose si l'on veut garantir la sécurité des personnels et des détenus».
Le statut pénitentiaire d'Yvan Colonna examiné à Toulon
Le tribunal administratif de Toulon a mis jeudi en délibéré une requête d'Yvan Colonna contre le renouvellement de son inscription sur le registre des détenus particulièrement signalés (DPS).
Le jugement du tribunal, appelé à statuer sur une décision de 2012, sera toutefois sans incidence immédiate sur le statut pénitentiaire du détenu, dont l'inscription au registre des DPS a depuis lors été renouvelée.
CHATEAUDUN - Agitation ce jeudi matin au centre de détention
Agitation ce jeudi matin au Centre de détention de Châteaudun.
Lors de leur créneau sport, deux détenus se sont aidés du grillage pour monter sur le toit des couloirs de circulation selon le syndicat pénitentiaire des surveillants non-gradés. Après plusieurs minutes de discussion, les détenus sont finalement descendus.
A travers ces faits, le syndicat dénonce une nouvelle le profil de certains détenus qui n'est pas adapté à l'établissement dunois. Dans le même temps le syndicat regrette que les travaux de sécurisation promis après les émeutes les 21 et 22 août 2013 ne soient toujours pas réalisés.
A travers ces faits, le syndicat dénonce une nouvelle le profil de certains détenus qui n'est pas adapté à l'établissement dunois. Dans le même temps le syndicat regrette que les travaux de sécurisation promis après les émeutes les 21 et 22 août 2013 ne soient toujours pas réalisés.
mercredi 17 septembre 2014
St Mihiel - Il tue son codétenu à mains nues : 10 ans de prison pour Jessy Petit
Jessy Petit, un Bisontin de 26 ans, accusé d'avoir tué à mains nues son codétenu le 7 août 2010 au centre de détention de Saint-Mihiel a été condamné à 10 ans de prison devant la cour d'assises de Nancy (Meurthe-et-Moselle).
Rappel des faits
Les deux principaux accusés, Jessy Petit, 26 ans, qui a porté les coups mortels, et Michel Bar, 41 ans, présenté comme l'instigateur de la rixe, se renvoient la responsabilité du drame.En 2017, la prison d'Aix va doubler de volume
Alors que son taux d'occupation actuel s'élève à 147 %, la prison d'Aix-Luynes devrait doubler sa capacité d'accueil. Début des travaux d'agrandissement en 2015 pour une livraison en 2017.
Avec un taux d'occupation toujours largement supérieur à 100 % (147 % avec 955 personnes détenues jeudi dernier pour, sur le papier, une capacité de 694 places), la prison d'Aix-Luynes subit et gère au quotidien une délicate situation de surpopulation carcérale.
Vannes - Accusé d'avoir étranglé son codétenu
Incarcéré à la prison de Vannes, un homme est accusé d'avoir étranglé son codétenu, âgé de 26 ans, le 21 avril 2010.
Hier, les experts ont confirmé le décès par strangulation. Le verdict sera rendu ce soir.
Eugène Dubois, sans domicile fixe, avait été découvert inanimé à 23 h 30, dans son lit, alors que l'accusé dormait. Il ne sera pas réanimé. Après avoir pensé à un suicide par intoxication médicamenteuse, la victime ayant fait part d'une envie de mettre fin à ses jours qui avait nécessité une surveillance particulière dans la soirée, l'enquête avait évolué vers un homicide volontaire, devant les traces de strangulation et l'absence de toxicité dans son sang.
Orléans - Il lançait des téléphones à son fils incarcéré
Un homme a tenté de passer deux téléphones portables par-dessus le mur de la maison d'arrêt d'Orléans à l'aide d'une canne à pêche.
Un quinquagénaire a été condamné mardi à huit mois de prison ferme par le tribunal correctionnel d'Orléans pour avoir tenté de faire passer à son fils incarcéré deux téléphones portables par-dessus le mur de la maison d'arrêt à l'aide d'une canne à pêche.
Quatre agents hospitalisés après une rixe avec un détenu, au Havre
Le 12 septembre 2014, trois gardiens ont été hospitalisés après une altercation avec un détenu. Le prisonnier a récidivé lundi 15 septembre, blessant un quatrième surveillant.
En l’espace de quatre jours, un détenu du Centre pénitentiaire du Havre, à Saint-Aubin-le-Routot, a violemment agressé quatre gardiens. À la suite d’une première altercation, survenue vendredi 12 septembre 2014, trois gardiens ont été hospitalisés. Lundi 15 septembre, un quatrième surveillant, pourtant protégé par un casque, a également été blessé… par le même détenu.
Seysses - Un couteau dans la cellule
Alors qu'il reconduisait en soirée un détenu dans sa cellule à la maison d'arrêt de Seysses un surveillant a surpris un codétenu en flagrant délit de téléphoner avec son portable qu‘il jeta par la fenêtre.
Immédiatement la fouille de la cellule était décidée.
Durant le contrôle de la salle de bain un second téléphone portable était trouvé tandis que 7 grammes de résine de cannabis étaient dissimulés dans la poche du codétenu.
Mais quelle ne fut pas la surprise des surveillants de découvrir caché dans la literie un couteau de marque, en acier, de plus de 20 centimètres.
mardi 16 septembre 2014
La Belgique continuera de louer des cellules dans une prison néerlandaise
La surpopulation carcérale est un problème que doivent contrer les autorités juridiques belges, et elles ont partiellement trouvé la solution.
Depuis 2009, la Belgique loue des cellules à la prison de Tilburg, aux Pays-Bas. Actuellement, près de 650 détenus belges y purgent une peine pour un coût total de 42 millions d'euros.
Annemie Turtelboom, ancienne ministre de la Justice, a renouvelé en juin dernier la demande pour 2015 à son homologue néerlandais. Demande acceptée et confirmée par Maggie de Block, actuelle ministre de la Justice.
St Maur - Des détenus contestent la saisie de leur compte
Huit détenus ont saisi la justice. Les sommes prélevées, de 3.000 à plusieurs dizaines de milliers d’euros, sont destinées aux victimes.
Tous ont été condamnés à de lourdes peines, de vingt ans de prison ferme à la perpétuité, pour des crimes extrêmement graves. Tous doivent verser à leurs victimes des dommages et intérêts colossaux, jusqu'à plusieurs centaines de milliers d'euros. Mais aucun ne s'attendait à la venue d'un huissier, le 20 juin.
Belgique - un délinquant sexuel prêt à être euthanasié
Frank Van Den Bleeken, un violeur multirécidiviste, affirme subir des souffrances psychiques insupportables en prison. Il sera euthanasié dans les prochains jours, à sa demande.
Frank Van Den Bleeken, un détenu belge, dit souffrir en permanence de ses pulsions sexuelles. Il a ainsi imploré l'euthanasie à la justice. Âgé de 52 ans, il est en prison depuis près de 30 ans pour une série de viols et le meurtre d'une jeune femme.
La justice belge réalisera le souhait de ce violeur multirécidiviste, dans les jours qui viennent. Elle estime qu'il a le droit de mourir dans la dignité, comme tout citoyen souffrant d'un mal incurable.
La justice belge réalisera le souhait de ce violeur multirécidiviste, dans les jours qui viennent. Elle estime qu'il a le droit de mourir dans la dignité, comme tout citoyen souffrant d'un mal incurable.
Entre les murs de la Santé
La dernière prison parisienne ouvre ses portes au public pour les Journées européennes du patrimoine. Découvrez en avant-première un lieu chargé d’Histoire, vidée de ses détenus en juillet dernier avant d’importants travaux. Reportage et photos.
Ses hauts murs ne laissent rien entrevoir. Au 42, rue de la Santé (14e), près d’un grand portail peint en bleu, une petite porte s’ouvre après un première vérification d’identité. Premier sas, puis second contrôle.
Jean-François Forget : « Il faut endiguer la vague de violences en prison »
Surpopulation, insalubrité et surtout violence. Jean-François Forget, le secrétaire général de l'Ufap-Unsa Justice, en visite dans le département pour préparer les élections professionnelles de décembre, tire, une nouvelle fois, la sonnette d'alarme concernant la situation dans nos prisons.
Nos prisons vont-elles craquer ?
La surpopulation est évidente, avec 698 détenus au centre pénitentiaire de Baie-Mahault pour 430 places. Et 170 détenus à la maison d'arrêt de Basse-Terre pour 130 places. À Basse-Terre, les conditions (de travail et de détention, NDLR) sont d'autant plus difficiles que c'est l'établissement pénitentiaire de France le plus insalubre. Il est décrié par tous les acteurs politiques.
Prison de Domenjod : La tentative d'évasion n'était qu'un exercice
Une alarme s'est déclenchée ce matin aux alentours de 9h à la prison de Domenjod à Saint-Denis pour un exercice de simulation grandeur nature.
L'exercice d'aujourd'hui consistait à actualiser le plan particulier d'intervention, dont le scénario était une tentative d'évasion. Un important dispositif policier a été déployé autour de l'établissement pénitentiaire.
ENAP - Élèves 1ers surveillants, ils décident le boycott des cours
Coup de théâtre la semaine passée à l'ENAP. 200 «premiers surveillants», qui cumulent déjà une expérience professionnelle d'au moins six ans, ont boycotté les cours. Du jamais vu.
Adhérente du syndicat majoritaire Ufap-Unsa, Isabelle est derrière le rideau. Et elle demande de rester anonyme. «On ne sait jamais, les menaces sont courantes.»
lundi 15 septembre 2014
Belgique - Philippe, père de 54 ans, étudiant le jour et gardien de prison la nuit
Il n’y a pas d’âge pour débuter un cursus supérieur. A Liège, un agent pénitentiaire de 51 ans a entrepris des études de criminologie et il a réussi avec grande distinction.
Samedi, c’était la proclamation des résultats. C’est avec une certaine fierté que Philippe a revêtu l’habit officiel entouré de ses camarades de classe. Tous ont trente ans de moins que lui. Réussir la criminologie à 54 ans, c’est un rêve qui se réalise. "Ce qui est compliqué je pense, c’est de faire le premier pas. C’était de faire la démarche de se dire, à 51 ans – puisque c’est l’âge que j’avais – ‘je vais me remettre sur les bancs de l’école’"
Une passion doit vous habiter
Avenir de la prison à Nice: le "oui mais" du quartier
Partagés, les riverains de la maison d’arrêt veulent surtout protéger leur tranquillité. Si la prison déménage, ils craignent le pire à son emplacement ; si elle reste, il faut réduire les nuisances
La prison de Nice vue des balcons du 15e étage de la copropriété Le Lyautey.
La municipalité souhaiterait garder la prison à Nice. Trois hypothèses sont, pour cela, envisagées : une reconstruction sur place, un déménagement sur le site de la caserne Auvare et des terrains militaires autour. Et enfin, les emprises RFF de la gare Saint-Roch. Cette annonce, faite jeudi par Christian Estrosi, a déjà fait le tour des quartiers.
dimanche 14 septembre 2014
Un trafic de drogue démantelé dans la prison de Nice
Un surveillant a été mis en examen pour trafic de stupéfiants et écroué. Quatre autres personnes sont également poursuivies dans cette affaire.
Il passe de surveillant à la maison d'arrêt de Nice… à détenu dans celle de Grasse. La vie de ce surveillant de 36 ans a basculé vendredi avec sa mise en examen pour "trafic de stupéfiants" et "remise illégale d'objets en maison d'arrêt".
"Indignation" de la famille du juge Michel après la semi-liberté de son assassin
La famille du juge Michel assassiné en 1981 s'est indignée de l'aménagement de peine de son meurtrier, selon "La Provence".
La famille du juge Michel, tué en 1981 à Marseille alors qu'il circulait à moto, a fait part ce samedi de son "extrême indignation" à la suite de l'aménagement de peine dont bénéficie l'assassin de ce magistrat, spécialiste des réseaux internationaux de trafic de drogue.
samedi 13 septembre 2014
Des filets anti-projections en cours d'installation à la maison d'arrêt de Perpignan
Pour ceux qui s'interrogeraient sur ces pylônes qui ont curieusement poussé depuis le début de la semaine au sein de la prison de Perpignan, ces étais serviront en fait à soutenir de nouveaux filets anti-projections. Lesquels seront installés au-dessus de la cour de promenade de la maison d'arrêt.
L'opération, d'un coût d'environ 200 000 euros, qui a débuté il y a un mois devrait être bouclée fin septembre.
Argentan - Le détenu frappe violemment un surveillant
Écroué depuis 2011, le détenu a toujours refusé les soins cliniques et psychologiques. Lundi, il a frappé un des surveillants du centre de détention.
Le 8 septembre dernier au centre de détention, au quartier disciplinaire. En ouvrant la porte de la cellule d'un détenu, un surveillant reçoit un coup-de-poing d'une violence telle, qu'il se retrouve à terre. Bilan : trois fractures sur le plancher orbital de l'oeil gauche, une fracture de la mâchoire et de nombreux hématomes. Quinze jours d'incapacité totale de travail (ITT). L'avocat de la victime souligne d'ailleurs « qu'avec un coup d'une telle violence la victime aura d'énormes séquelles. »
Le détenu quant à lui, expliquera qu'il avait prémédité son coup en représailles des problèmes qu'il avait eus avec ce surveillant le samedi précédent. « Je n'ai qu'une seule parole et je l'ai fait », précisera-t-il. Au cours de sa garde à vue, il aura des propos salaces envers l'avocate qui l'accompagne.
Le détenu quant à lui, expliquera qu'il avait prémédité son coup en représailles des problèmes qu'il avait eus avec ce surveillant le samedi précédent. « Je n'ai qu'une seule parole et je l'ai fait », précisera-t-il. Au cours de sa garde à vue, il aura des propos salaces envers l'avocate qui l'accompagne.
Liancourt - Le personnel de la prison clame sa colère
Une trentaine d'employés du centre pénitentiaire de Liancourt (Oise) s'est mobilisée hier matin pour dénoncer leurs conditions de travail.
Liancourt, hier. Les gendarmes sont intervenus pour évacuer les surveillants.
Ils ont bloqué l'entrée du site et installé plusieurs barrages, entre 6 h 30 et 9 heures, avant d'être évacués par les forces de l'ordre.
Incendie - 1 mort à la prison de Villenauxe-la-Grande dans l'Aube
Cette nuit, un incendie s'est déclaré à la prison de Villenauxe-la-Grande dans une cellule. Un détenu de 63 ans est décédé. C'est lui qui aurait provoqué l'incendie.
C'est dans la nuit, vers 3h du matin que l'alerte a été donnée. Un incendie s'est déclaré dans la cellule d'un détenu de la prison de Villenauxe-la-Grande.
Une victime est à déplorer, un homme de 63 ans est décédé. Le détenu, fumeur, aurait volontairement mis le feu à sa cellule dans laquelle il était seul. D'ailleurs le personnel du service pénitentiaire de la prison l'aurait récemment changé de lieu car il aurait déjà tenté d'y mettre le feu. Incarcéré depuis 2 ans, pour violence et extorsion, il devait être libéré début 2015.
Une victime est à déplorer, un homme de 63 ans est décédé. Le détenu, fumeur, aurait volontairement mis le feu à sa cellule dans laquelle il était seul. D'ailleurs le personnel du service pénitentiaire de la prison l'aurait récemment changé de lieu car il aurait déjà tenté d'y mettre le feu. Incarcéré depuis 2 ans, pour violence et extorsion, il devait être libéré début 2015.
Nice - Trafic de drogue à la prison : un surveillant pris la main dans le sac
Il est passé du statut de surveillant à celui de détenu. Un surveillant de la maison d'arrêt de Nice a été placé en garde à vue, ce samedi matin.
Il a été pris en flagrant délit, en train de remettre un sac de 400 grammes de cannabis à un détenu. Il serait impliqué dans un trafic de drogue au sein même de l'établissement pénitentiaire.