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mardi 31 mars 2015

Actu Pénitentiaire : plus de 20 000 pages consultées en Mars

Ce sont plus de 20 000 pages qui ont été consultées sur   
http://actupenitentiaire.blogspot.fr  en ce mois de Mars...
 
  
Je ne peux résister à communiquer ces chiffres alors même que le 31 Mars n'est pas terminé.  
Cela signifie donc que le chiffre définitif se situera plus près des 21 000 pages vues. :)
 
La preuve que tout le monde ne se fout pas de savoir ce qui se passe réellement au sein des
détentions de ce pays, non ?

Le président de l'ANAS est sorti de prison

Il est notamment reproché au président de l'association qui gère les œuvres sociales de la police (Anas) d'avoir servi d'intermédiaire dans le dossier des "fuites du 36".

Après deux mois de détention provisoire, l'ancien policier, mis en examen dans l'affaire des fuites du "36", a été remis en liberté lundi soir. "Jo" Masanet est soupçonné servi d'intermédiaire dans l'affaire du vol des 52 kilos de cocaïne au siège de la police judiciaire parisienne, en juillet dernier.
Une caution de 10.000 euros versée. Il est sorti de la maison d'arrêt de Fresnes, dans le Val-de-Marne, lundi soir, à 23 heures, après une ordonnance du juge d'instruction Roger Le Loire, a précisé Me Mercier. Selon elle, le magistrat a fixé un cautionnement de 10.000 euros que la famille de Jo Masanet a déjà versé.

Le ministère de la Justice prend des bureaux dans le 19ème arrondissement de Paris

Dans la série "à des années lumières" des détentions pourries de France... C'est certain, nous ne vivons pas sur la même planète et pourtant nous faisons partie du même ministère !  
Le ministère de la Justice va installer 1.600 agents au "Millénaire 3".
 
Le ministère de la Justice s'installera dans le "Millénaire 3" dans le 19ème arrondissement de Paris Icade - KFP

A lire - Surveillants de prison : une surmortalité par suicide

Selon une étude de l'Institut de veille sanitaire, les hommes travaillant en milieu carcéral sont plus touchés par les suicides de 21 % par rapport à la population française. 
  
Une étude de l’Institut de veille sanitaire (InVS) sur la mortalité des agents pénitentiaires, montre que les suicides sont plus fréquents de 21 % chez les hommes par rapport à la population générale. Les personnes occupants les postes de surveillants ou d’adjoints techniques sont particulièrement concernés.

A Arles, des détenus “facilitateurs” pour redonner de l’espoir

A la centrale d’Arles, l’administration a mis en place des “facilitateurs”, des détenus chargés de pacifier les relations à l’intérieur de la prison. Devant les bons résultats, le ministère de la Justice envisage d’étendre ce programme.  
 
A la centrale d’Arles, depuis quatre ans, une dizaine de “facilitateurs” tentent de désamorcer les colères et prévenir les violences. Comme une preuve du chemin parcouru, Stéphane lâche d’emblée: “Etre assis ici, avec vous, il y a encore quelques années, c’était impossible pour moi. J’aurais eu l’impression d’écrire une lettre de dénonciation.”

Varennes - Deux ans pour un coup de rasoir à la prison

Le 3 avril 2013 dans l’enceinte de la maison d’arrêt de Varennes-le-Grand, un drame aurait pu avoir lieu.
 
Un détenu, lors d’une altercation avec un autre prisonnier, avait en sa possession un rasoir avec lequel il portera un violent coup à la gorge de sa victime.  
L’auteur présumé, âgé de 21 ans et qui n’était pas présent ce lundi à l’audience du tribunal de Chalon, niera être l’auteur des coups portés à son codétenu mais l’agression avait été filmée et les témoignages concordants.   

Varennes-le-Grand - un téléphone dans les toilettes

Une discussion singulière a eu lieu lundi, au tribunal de Chalon. Le dossier portait sur la découverte d’un téléphone portable, récupéré dans les toilettes de la cellule d’un détenu de 30 ans, qui comparaissait pour ces faits constatés le 16 novembre 2014 à Varennes-le-Grand.

Le président du tribunal a expliqué qu’un gardien de prison a découvert un portable dans la cuvette des toilettes du prévenu, ce que conteste avec véhémence celui-ci. « Le téléphone était coincé dans le conduit, ce n’est pas mon téléphone. Il était là avant, il veut me faire porter le chapeau ! »

Procès du "tueur de l'Essonne" à Evry: le mystère Yoni Palmier

Yoni Palmier, 36 ans, est jugé à partir de ce mardi pour une série de quatre meurtres commis sans mobile dans l'Essonne. La justice va tenter de comprendre l'inexplicable.                         
                      
Il est accusé d'avoir assassiné quatre personnes de sang-froid, sans mobile, par surprise, d'au moins une balle dans la tête: Yoni Palmier, "le tueur de l'Essonne", comparaît à partir de ce mardi aux assises d'Evry, avec la lourde étiquette de "serial killer". Malgré un dossier accablant, l'accusé, 36 ans, nie farouchement les faits. "Son discours, c'est de dire: 'Moi, on m'a agressé toute ma vie et la justice n'a jamais rien fait. Maintenant, je suis accusé et on ne fait rien pour m'innocenter!'", détaille son avocat Julien Fresnault.

Ploemeur - Deux couteaux et des clés projetés à l'intérieur de l'établissement

Le syndicat pénitentiaire des surveillants (SPS) non gradés s'inquiète, dans un communiqué, de la découverte, dimanche, de deux couteaux et de six clés dans l'enceinte de la prison de Ploemeur suite « à de nouvelles projections extérieures ».
Le syndicat dénonce « la pénurie des effectifs de surveillants et de moyens matériels pour assurer la sécurité de la prison ».   

À Rennes, un détenu intoxiqué et brûlé

Des départs de feu, vendredi soir au centre pénitentiaire de Vezin, ont fait trois blessés dont un plus sérieusement atteint.

Vendredi, les sapeurs-pompiers ont été appelés à deux reprises au centre pénitentiaire de Rennes-Vezin, à chaque fois pour des départs de feu dans des cellules.

La première alerte a eu lieu à 17 h, la seconde vers 19 h 15.

Lors des deux interventions, le feu avait été éteint avant l'arrivée des secours. Dans le premier cas, un homme de 45 ans, intoxiqué par la fumée, brûlé aux cuisses et aux mains, a dû être évacué au centre hospitalier Pontchaillou à Rennes.

lundi 30 mars 2015

Angleterre - Il s’est évadé de prison à coup de phishing

Muni d’un smartphone, un escroc a réussi à ordonner sa propre libération en usurpant l’identité du tribunal dans de faux emails. Un coup génial qui a même impressionné le procureur.  
Quelques emails suffisent pour sortir de cette prison.
 
Limer les barreaux d’une fenêtre de prison, c’est une technique du passé. Désormais, les criminels s’inspirent des méthodes de hacker pour se faire la malle.   

Coups mortels à la prison de La Farlède: autopsie ce lundi

Série noire au centre carcéral de la Farlède où un nouveau décès est survenu cette semaine. Un homme de 51 ans avait été trouvé inconscient dans sa cellule, le visage tuméfié, jeudi matin par le personnel.

Coups mortels à la prison de La Farlède : aut - 28838375.jpg
 
En état de mort cérébrale, il est finalement décédé à l'hôpital Sainte-Anne de Toulon où il avait été transféré.

Yoni Palmier, le "tueur de l'Essonne", devant les assises

Accusé de quatre meurtres commis en quelques mois dans l'Essonne, Yoni Palmier est jugé à partir de mardi à Evry.

Yoni Palmier, le "tueur de l'Essonne", devant les assises
 
Quatre assassinats en quelques mois, dans un rayon de cinq kilomètres, une seule arme et un véhicule – une moto "bleue et blanche" – aperçu avant et après chaque meurtre. Au procès de Yoni Palmier, qui s'ouvre mardi devant la cour d'assises à Evry, les preuves sont accablantes, mais le "tueur de l'Essonne" nie les faits et ne semble pas avoir de mobile. Âgé de 36 ans, celui qui comparaît avec une étiquette de "serial killer" encourt la réclusion à perpétuité.

Luynes - à la maison d'arrêt, les agents d'insertion restent à la porte

Devant le nombre de détenus et évoquant la sécurité, les agents du Service pénitentiaire d'insertion et de probation ne vont plus en détention. Sans oublier la surcharge et les conditions de travail en milieu ouvert

Faits divers - Justice - Actualités - Luynes : à la maison d'arrêt, les agents d'insertion restent à la porte     
 
L'un des premiers motifs de mécontentement : les locaux de l'antenne Aix du Spip (service pénitentiaire insertion et probation).

#Marseille : les #Baumettes au pied du mur

De nouvelles vidéos clandestines tournées dans le centre pénitentiaire des Baumettes circulent sur Internet depuis jeudi.

Face au web, l'administration pénitentiaire se trouve désarmée notamment à cause du sous-effectif du personnel. photo archives robert terzian
 
Sitôt postées, sitôt dénoncées. Trois vidéos, mises en ligne sur Dailymotion jeudi, ont agité le monde pénitentiaire toute la journée de jeudi. Il s’agit d’images tournées, selon toute vraisemblance, dans l’enceinte des Baumettes à l’aide de smartphones. Dès jeudi soir, le syndicat pénitentiaire des surveillants non-gradés (SPS) avait l’information. L’occasion de se fendre d’un communiqué envoyé aux médias dans la foulée, qui pose une question aux accents réactionnaires : « Les Baumettes : prison ou centre de vacances pour la population pénale ? »

dimanche 29 mars 2015

PRISON DE SEQUEDIN - les surveillants dénoncent les projections

Les projections d’objets divers, principalement de la drogue et des téléphones portables, dans des colis lancés par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Sequedin, existent depuis longtemps. Mais cela fait quinze jours qu’elles sont, selon les surveillants pénitentiaires, devenues quotidiennes.

Les «
lanceurs
» profitent de la proximité de la RN 41 pour expédier leurs colis 
par-dessus le mur d’enceinte. photo hubert van maele
 
« Le matin et l’après-midi, parfois ! Pendant les heures de promenade, ce qui prouve qu’ils sont bien renseignés  », commente Stéphane Lecerf, représentant UFAP-UNSA-Justice.

samedi 28 mars 2015

Rennes - Deux départs de feu vendredi à la prison de Vezins

Vendredi, les pompiers sont intervenus deux fois au centre pénitentiaire de Vezin-le-Coquet pour des départs de feu dans des cellules. Trois hommes ont été hospitalisés.

photo le centre pénitentiaire de rennes - vezin © photo ouest-france / joël le gall
 
Vendredi, les pompiers ont été appelés à deux reprises au centre pénitentiaire de Vezin-le-Coquet, à chaque fois pour des départs de feu dans des cellules.

Prison d'Alençon - ce jugement qui scandalise les surveillants

Alors que le centre pénitentiaire d’Alençon (Orne) a été le cadre de nouveaux incidents, un ancien détenu vient d’être indemnisé pour une sanction disciplinaire infondée ! Récit.
Au centre pénitentiaire d’ Alençon (Orne), qui accueille des détenus dangereux, deux surveillants ont été violemment agressés, jeudi 26 mars 2015. L’un souffre de multiples contusions, l’autre a un doigt fracturé ; soit, à la clé, huit et 30 jours d’arrêt de travail. Depuis l’ouverture, en mai 2013, c’est presque la trentième agression dans cette prison. Un jugement du tribunal administratif de Caen (Calvados), rendu fin février, ne va pas apaiser les tensions : Francis. T., (prénom d’emprunt), un détenu, qui avait été placé en quartier disciplinaire, a vu sa sanction annulée, et il recevra 1 000 euros.

Aide-soignante agressée à la lame de rasoir, au Havre : le détenu transféré à Rouen

Au Havre (Seine-Maritime), l'unité de prise en charge des détenus est toujours ouverte. Une aide-soignante est toujours en arrêt, après une violente agression d'un prisonnier.
 
En avril 2013, lors de l'inauguration de l'unité Féroé, le personnel avait dénoncé le manque d'effectifs (©K.L.).
 
Lundi 23 mars 2015, une aide-soignante en poste à l’unité Féroé, l’unité de prise en charge des détenus au sein de l’hôpital psychiatrique Pierre Janet, au Havre (Seine-Maritime), a été agressée par un patient.

vendredi 27 mars 2015

Baumettes : les nouvelles vidéos polémiques

Des vidéos ont été postées sur Internet mettant en scène les détenus  dans l'enceinte de la prison : bagarre, fumette, et même escalade par dessus les grillages de la maison d'arrêt. Le tout filmé par des téléphones portables interdits en prison. 
 
 
Nouveau scandale à la prison des Baumettes de Marseille. Trois vidéos ont été postées sur une plateforme de partage, elles mettent en scène les détenus dans l’enceinte de la prison. 

Rixe mortelle entre co-détenus à La Farlède

Un détenu de 50 ans du centre pénitentiaire de la Farlède (Var) a succombé vendredi après-midi à des coups portés par son co-détenu la veille. L'homme, un Marseillais incarcéré depuis novembre 2014, aurait été frappé à plusieurs reprises jeudi matin par son co-détenu, un Varois âgé de 34 ans qui est en garde à vue depuis.
                              
 
La victime a été retrouvée inconsciente dans sa cellule jeudi matin. Lorsque les surveillants pénètrent dans la cellule, le détenu est au sol, inconscient. Les secours ne parviennent pas à le ranimer.

Un détenu s’échappe d’une prison marseillaise avec une facilité déconcertante (vidéo)

A Marseille, un jeune homme a réussi à passer outre la clôture de la prison des Baumettes. Sous les encouragements de ses amis codétenus, le jeune homme s’est simplement glissé entre les grillages. Ses camarades ont filmé la scène avec leur téléphone portable.

Une vidéo postée récemment sur le net montre l'évasion, pour le moins aisée, d'un détenu de la prison des Baumettes, à Marseille. La raison de sa fuite ? Le jeune prisonnier avait simplement reçu la mission de ses camarades d'aller "récupérer un colis".

Violente agression de 2 surveillants à la prison de Condé sur Sarthe

Deux surveillants ont été les victimes d'une agression très violente par quatre détenus, au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d'Alençon.
Violente agression de 2 surveillants à la prison de Condé sur Sarthe
Ce jeudi 26 mars, deux surveillants ont été invectivés par quatre détenus. La tension est montée. Les surveillants ont voulu réintégrer les détenus dans leurs cellule, c'est alors qu'ils ont été agressé. L'un des surveillants s'est retrouvé au sol, frappé à coup de pieds dans la tête par l'un des détenus. Il a du être pris en charge par les pompiers et il a quitté les urgences de l'hôpital avec 30 jours d'arrêt de travail.

Fin de la prise d’otages à la prison de Saint-Maur, un détenu en garde à vue

La prise d’otage intervenue ce jeudi à 17h à la prison de Saint-Maur dans l’Indre s’est terminée peu avant minuit. Le surveillant qui a été retenu pendant un peu plus de six heures a été libéré, un des détenus impliqués a été hospitalisé en psychiatrie, le deuxième a été placé en garde à vue.

Devant la prison centrale de Saint-Maur en octobre 2014

Centre pénitentiaire Alençon - Condé. Deux surveillants agressés jeudi

Les syndicats rencontrent actuellement le directeur de la prison, André Breton.

L'agression a eu lieu jeudi en fin de journée. Deux surveillants ont été blessés.
 
L'agression a eu lieu jeudi en fin de journée, au centre pénitentiaire d'Alençon-Condé-sur-Sarthe.
Quatre détenus s'en seraient pris à deux surveillants, les frappant de coups de pied et de poing.
 
Les deux surveillants ont ensuite été admis au centre hospitalier d'Alençon. L'un d'eux s'est vu délivrer 5 jours d'incapacité temporaire de travail (ITT) et 8 jours d'arrêt de travail.

EN IMAGES - Les prisons françaises vues de l’intérieur

Pendant trois ans, Grégoire Korganow a photographié l’intérieur des prisons françaises afin d’en faire un état des lieux.

gregoire-korganow-prisons-7
 
L’aventure commence en 2010 pour le photographe. Il prend des photos pour le documentaire de Stéphane Mercurio, À l’ombre de la République, qui retrace le travail du Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGPL) Jean Marie Delarue. Une fois son travail sur le documentaire terminé, Jean Marie Delarue lui a proposé d’intégrer ses équipes pour faire un état des lieux des prisons françaises.

Journée « Prison morte » au centre pénitentiaire de Ducos

Les surveillants pénitentiaires ont exprimé leur ras-le-bol, hier matin, en barrant l'accès à la prison de Ducos.
 
Une cinquantaine d'agents étaient mobilisés hier matin devant l'enceinte du centre pénitentiaire de Ducos, empêchant toute entrée et toute sortie
 
Meubles divers, gazinières et barrières métalliques : personne ne pouvait ni entrer, ni sortir. Pas de déferrements judiciaires, pas de visites aux parloirs, seules étaient autorisées les extractions médicales judiciaires.
 
Une telle mobilisation, lancée à l'appel des syndicats URUFAP et Unsa Justice, n'avait plus été vue depuis 2007, assurent les gardiens.

Québec - Cellulaires en prison: les autorités pourront installer des brouilleurs d'ondes

Les autorités carcérales du Québec pourront finalement installer des brouilleurs d’ondes en prison, pour mieux neutraliser la contrebande de téléphones cellulaires parmi les détenus.
 
Une photo prise par un détenu à l’intérieur de la prison de Bordeaux, en 2013.

Lot et Garonne - Le jeune détenu s'exhibe devant la surveillante

La vie en prison n'est pas toujours amusante. Toutefois, ne sont derrière les barreaux — en principe — que ceux qui le méritent.
Le garçon de 21 ans qui comparaissait hier le méritait probablement. Ou alors il faut imaginer que la justice s'acharne sur lui avec une rare persévérance.
Il fut, malgré son jeune âge, déjà condamné à six reprises et chaque fois pour la même raison ou à peu près. Rébellion.

St Maur - Fin de la prise d'otage d'un surveillant

L'agent pénitentiaire retenu à Saint-Maur, dans l'Indre, est indemne.
 
Le surveillant pris en otage par deux détenus jeudi 26 mars dans l'après-midi, vers 17h, à la maison centrale de Saint-Maur, dans l'Indre, a été libéré en fin de soirée, a indiqué dans un communiqué l'administration pénitentiaire,précisant que ce brigadier n'avait subi aucune violence physique.

L'un des deux détenus s'était rendu vers 18h45, l'autre restant sur place avec le surveillant.

Le premier détenu sorti souffre de "graves troubles psychiatriques" et a fait l'objet d'une hospitalisation sous contrainte, a indiqué l'administration pénitentiaire (AP). Lors de la prise d'otage, il avait lui-même demandé à bénéficier d'une hospitalisation d'office.

jeudi 26 mars 2015

Un surveillant otage de détenus à la centrale de St-Maur

Deux détenus ont pris un surveillant en otage, ce jeudi en fin d'après-midi, à la maison centrale de Saint-Maur près de Châteauroux. L'un des détenus s'est rendu.
                              
 
La prise d’otage a débuté à 17 h, selon l'administration pénitentiaire. Deux détenus de la maison centrale de St-Maur ont pris en otage un surveillant, un brigadier.

Fouilles à nu à Saint-Martin-de-Ré (17) : l'Observatoire des prisons conteste

Une note à l'affichage instaure des fouilles "à nu aléatoire" à la centrale de Saint-Martin-de-Ré. Un monument d’habillage légal, selon l’avocat de l’observatoire
 
Fouilles à nu à Saint-Martin-de-Ré (17) : l'Observatoire des prisons conteste
 
Ce sont les détenus de la prison de Saint-Martin-de-Ré qui avaient donné l'alerte. Ils avaient découvert une note à l'affichage sur les modalités des fouilles en prison, transmise illico à l'Observatoire international des prisons (OIP).

Saint-Maur : un surveillant de prison retenu en otage par deux détenus

Un surveillant pénitentiaire a été pris en otage par deux détenus, jeudi en fin d'après-midi, à la maison centrale de Saint-Maur, dans l'Indre.

L'info. Un surveillant brigadier a été pris en otage vers 17 heures par deux détenus de la maison centrale de Saint-Maur, dans l'Indre, a annoncé jeudi l'administration pénitentiaire dans un communiqué.

Les équipes régionales d'intervention et de sécurité (Eris) de Paris ont été dépêchées sur place. Cet établissement héberge actuellement 206 détenus pour une capacité de 260 places. 

Au Havre, le prisonnier interné en psychiatrie a agressé une aide-soignante. Il avait sorti une lame de rasoir de prison

Le prisonnier hospitalisé à Pierre-Janet qui a agressé, lundi, une aide-soignante avait sorti sa lame de rasoir de prison.
Au Havre, le prisonnier interné en psychiatrie a agressé une aide-soignante. Il avait sorti une lame de rasoir de prison
 
Les fouilles, le portique de sécurité... C’est tout le protocole de sécurité de l’hôpital psychiatrique Pierre-Janet qui doit être repensé après la violente agression, lundi, d’une aide-soignante par un patient-détenu.

Celui-ci avait été transféré, vendredi dernier, du centre pénitentiaire du Havre à l’unité Féroé de Pierre-Janet, dédiée aux soins psychiatriques des patients-détenus. 

Les Baumettes - un détenu se fait filmer en pleine "évasion"

Info ou intox ? En tout cas, le portable lui est bien réel...
 
La sécurité à la prison des Baumettes à Marseille laisse clairement à désirer si l’information avec vidéo relayée par Koreus , venait à être réelle. On voit un prisonnier "s’évader" de la façon la plus simple de la célèbre prison de la cité phocéenne.
Un prisonnier sévade des Baumettes

Laon - un surveillant écroué pour un trafic de drogue au sein de la prison

Un surveillant de la maison d’arrêt de Laon a été interpellé la semaine dernière. Il est soupçonné d’avoir participé à un trafic de stupéfiants au sein de l’établissement pénitentiaire. Il a été incarcéré et placé à l’isolement à la prison de Rouen.
 

Arrivé comme surveillant en 2011 à Laon, le quadragénaire est actuellement incarcéré en Seine-Maritime.

Agen - 3 mois de prison supplémentaires pour avoir menacé une surveillante pénitentiaire

Présenté devant le tribunal d'Agen, mercredi, le détenu de 21 ans a reconnu avoir menacé et insulté un agent pénitentiaire
Agen : 3 mois de prison supplémentaires pour avoir menacé une surveillante pénitentiaire
 
Le prévenu a les mâchoires crispées, et pour cause. Ce sont de les avoir un peu trop détendues pour en sortir un flot d'insanité, samedi, à l'encontre d'une surveillante pénitentiaire qui lui valait d'être jugé, mercredi, en comparution immédiate par le tribunal correctionnel d'Agen.

mercredi 25 mars 2015

Assises à Strasbourg : l'accusé insulte la cour à l'annonce du verdict

Radouane Riahi, condamné hier soir en appel à 14 ans de prison pour braquage et vol avec arme, a copieusement insulté les magistrats et les jurés de la cour d'assises d'appel de Strasbourg.
 
Des trois accusés, tous condamnés hier par la cour d'assises d'appel de Strasbourg, il est le seul à avoir perdu ses nerfs.

Radouane Riahi, 34 ans, a insulté à l'annonce du verdict une avocate, avant de s'en prendre au président de la cour d'assises d'appel ainsi qu'aux jurés.

Utah - le peloton d’exécution plutôt que l’injection

Dans l’Utah, depuis le lundi 23 mars, tout condamné à mort recevra une injection létale ou, à défaut, quatre balles dans la peau.
 
Le dispositif pour exécuter par fusillade un condamné à mort, dans la prison d'Etat de l'Utah, à Draper, en 2010.
 
 Parce que gouverner c’est prévoir, et que les cocktails fatals manquent aux Etats-Unis, compte tenu notamment de la décision de l’Union européenne d’interdire l’exportation de ce type de produits, des élus de cet Etat ont décidé de rétablir ce mode opératoire pratiqué lors de 41 des 51 exécutions qui y ont été recensées depuis 1850.

RÉMIRE-MONTJOLY - Évasion au centre pénitentiaire

Un détenu placé au quartier de semi-liberté s'est fait la belle, hier matin.
 
Affecté au nettoyage des locaux d'un bâtiment administratif de la prison, il a réussi à s'enfuir.
Selon le syndicat Ufap-Unsa, l'homme était pourtant libérable au mois de mai prochain.
Il aurait entendu qu'il allait être remis aux autorités du Suriname, où il était recherché, à sa sortie de prison. Une décision qui l'inquiétait fortement.

Violences et incidents graves avec des détenus en Haute-Normandie

Des violences se sont produites ce mardi 24 mars dans deux centres de détention de Haute-Normandie. 
Violences et incidents graves avec des détenus en Haute-Normandie

A la prison des Vignettes à Val-de-Reuil (Eure), pour des raisons inconnues, un détenu a mis le feu volontairement dans sa cellule au quartier disciplinaire de la division 2. Les sapeurs-pompiers sont intervenus ainsi que les services de police qui ont procédé aux constatations. 

SAINT-QUENTIN-FALLAVIER - Deux détenus condamnés pour des violences sur un surveillant

Deux prévenus étaient jugés hier au tribunal correctionnel de Vienne pour des violences aggravées ayant entraîné une ITT inférieure à huit jours ainsi que pour des outrages.
Le centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier. Le DL
 
Les faits se sont déroulés le 2 octobre 2014, au centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier où les deux hommes, âgés de 20 et 23 ans, sont détenus.

Maison d'arrêt de Pau - les agents veulent plus de sécurité pendant les travaux

Les portes de la maison d'arrêt de Pau sont restées closes de 6 h 30 à environ 14 heures mardi : elles étaient bloquées par une vingtaine d'agents à l'appel de l'Ufap-Unsa et de Force ouvrière-Pénitentiaire.
Hier matin, une vingtaine de personnes ont bloqué l'entrée de la maison d'arrêt de Pau. Au premier plan, Éric Vigier (Ufap-Unsa) et Sylvain Berger (FO) ont été reçus par la directrice interrégionale.

Profitant de la visite de Sophie Bleuet, la directrice interrégionale de l'administration pénitentiaire, les deux syndicats ont ainsi dénoncé les conditions de sécurité pendant le chantier de réfection de l'entrée de l'établissement.

mardi 24 mars 2015

Béziers - du cannabis projeté dans la cour de prison

250 grammes, soit cinq barrettes de résine de cannabis, avaient été découverts sur un détenu. Le tribunal a prolongé sa détention de trois mois. 
 
Béziers : du cannabis projeté dans la cour de prison
 
Le 8 mars 2015, un détenu du centre pénitentiaire de Béziers est découvert porteur de cinq barrettes de résine de cannabis, soit 250 g."Cela vient d'une projection de colis au-dessus du grillage, un détenu me l'a refilé, je devais le remettre à un autre prisonnier, je ne servais que d'intermédiaire", explique le prévenu.

Martinique - Un détenu agresse trois gardiens et provoque la colère à la prison

Selon les syndicats des agents du centre pénitentiaire de Ducos, un détenu a agressé trois de leurs collègues vendredi dernier (20 mars). Traduit en comparution immédiate lundi après-midi, son procès a été renvoyé. Les gardiens sont en colère et cessent le travail ce mardi.
 
Centre pénitentiaire de Ducos © Martinique 1ère

Loi sur le renseignement : vers une addition salée

L'étude d'impact du projet de loi controversé ne s'étend pas sur le tarif des nouvelles mesures. Un "oubli" qui pourrait poser problème.
 
Le Premier ministre Manuel Valls, en septembre 2013 (AFP PHOTO / LIONEL BONAVENTURE)
 
L'examen du projet de loi controversé sur le renseignement débute à l'Assemblée nationale mardi 24 mars, pour une présentation devant les députés attendue courant avril.
 

Pau - le blocage de la maison d'arrêt est levé

Une quinzaine de surveillants bloquaient l'accès à la maison d'arrêt de Pau depuis ce mardi matin
 
 Pau : le blocage de la maison d'arrêt est levé 
La directrice interrégionale de l'administration pénitentiaire Sophie Bleuet rencontre les représentants des syndicats ce mardi
 
Le blocage de la maison d'arrêt a été levé à 14 heures ce mardi. Les représentants de FO pénitentiaire et de l'UFAP-Unsa rencontraient ce matin la directrice interrégionale des services pénitentiaires en visite à Pau. Celle-ci a promis une équipe régionale intérimaire pour aider le personnel palois ainsi qu'une équipe régionale de sécurité pour les périodes les plus sensibles du chantier qui posait problème, celui de la porte d'entrée de l'établissement.

Martinique - DUCOS LA COUPE EST PLEINE - DUCOS VÉRITABLE PÉTAUDIÉRE

Les Personnels du Centre Pénitentiaire de Ducos sont en véritable danger.
 
Pourtant ce n’est pas faute d’avoir prévenu. L’UFAPUNSa Justice locale, régionale et nationale a alerté à maintes reprises toutes les autorités Martiniquaises et plus particulièrement la Chancellerie et la DAP sur les dysfonctionnements de cette structure et surtout sur la sécurité des Agents de tous corps et grades confondus. Rien n’y fait !!!
Droits dans leurs bottes, les responsables de l’administration pénitentiaire s’entêtent à faire de DUCOS une véritable bombe à retardement.

Bapaume - condamné pour avoir aspergé d'urine un surveillant pénitentiaire

Le tribunal correctionnel d’Arras a condamné ce lundi Sébastien Saviski, 31 ans, à dix mois de prison en ferme en plus de la peine qu’il purge actuellement pour avoir outragé et surtout aspergé d’urine un surveillant pénitentiaire du centre de détention de Bapaume.
 
http://www.lavoixdunord.fr/sites/default/files/articles/ophotos/20150323/1882137031_B975098433Z.1_20150323181149_000_GLS4732TC.1-0.jpg 

Loi sur le renseignement : le silence du coût de la surveillance

Le projet de loi sur le renseignement sera débattu le 1er avril en commission des lois. Le texte et les premiers amendements y seront présentés, discutés, arbitrés.
Seulement, un détail chiffonne lorsqu’on regarde l’étude d'impact annexée au texte. C’est la question des coûts des mesures annoncées, dont les détails sont très flous.
 
Pour savoir ce que recèle la future loi sur le renseignement, l’étude d’impact du gouvernement (PDF) est d’une aide précieuse. Ce document annexé par Matignon au projet de loi revient en effet de long en large sur les raisons d’un tel texte : avant tout, encadrer des pratiques « alégales », et donc apporter des garanties à l’État, aux agents et aux citoyens.

Martinique - Nouvelles agressions contre des surveillants, la prison explose ?

Après de nouvelles agressions contre des surveillants pénitentiaires la semaine dernière, ces derniers ont décidé de se mobiliser ce mardi.
Va t-on vers l'explosion de la prison de Ducos ? 

Les syndicats se posent la question et pointent du doigt les autorités, ils ont décidé de se mobiliser ce mardi. 

Nantes - grogne syndicale contre le déménagement du SPIP

Le siège du SPIP (Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation) ainsi que les services du milieu ouvert (AEMO, action éducative en milieu ouvert) de Nantes ont quitté le centre-ville (44 rue de Strasbourg) pour Saint-Herblain.
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lundi 23 mars 2015

Cadillac - L'hôpital-prison ouvrira en 2016 : 150 emplois à la clef

Près de 15 millions d'euros sont investis pour construire cette nouvelle unité au centre hospitalier de Cadillac.
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Le chantier ne passe pas inaperçu. Commencé en 2013, il a alimenté les rumeurs les plus folles. Dès avril 2016, il accueillera une Unité hospitalière spécialement aménagée (UHSA), permettant de donner des soins psychiatriques aux personnes condamnées à des peines de prison peu importantes.

Verdun - six incarcérations

Les six personnes placées en garde à vue vendredi à Verdun pour viol, séquestration et actes de torture et de barbarie, ont été mises en examen, hier, à Nancy, et écrouées.  
C’est dans un immeuble de la rue des Gros-Degrés que les faits se sont déroulés.
 
Vendredi matin six personnes, trois hommes et trois femmes, ont été interpellées à Verdun par les policiers du commissariat. Elles ont été placées en garde à vue pour viol, actes de torture et de barbarie et séquestration.