Une quinzaine de surveillants bloquaient l'accès à la maison d'arrêt de Pau depuis ce mardi matin
La directrice interrégionale de l'administration pénitentiaire Sophie Bleuet rencontre les représentants des syndicats ce mardi
Le blocage de la maison d'arrêt a été levé à 14 heures ce mardi. Les représentants de FO pénitentiaire et de l'UFAP-Unsa rencontraient ce matin la directrice interrégionale des services pénitentiaires en visite à Pau. Celle-ci a promis une équipe régionale intérimaire pour aider le personnel palois ainsi qu'une équipe régionale de sécurité pour les périodes les plus sensibles du chantier qui posait problème, celui de la porte d'entrée de l'établissement.
Une quinzaine de surveillants en repos ou en congés ont bloqué l'accès à la maison d'arrêt de Pau ce mardi matin. Ils protestaient contre le manque de sécurité du chantier de la porte d'entrée. Les visites de l'aumônier, des avocats ou les activités culturelles ont été bloquées. Seules les extractions médicales urgentes et les libérations étaient possibles.
Les syndicats souhaitaient une fermeture provisoire du quartier mineur, mesure qui libérerait trois agents capables d'assurer le renfort à l'entrée le temps des travaux. Alors qu'un seul surveillant est en poste à la porte généralement, ils sont deux le temps du chantier. Ce renfort s'effectuant à effectifs constants, les agents étaient rappelés jusqu'à présent sur leurs jours de repos pour assurer la garde.
Les syndicats souhaitaient une fermeture provisoire du quartier mineur, mesure qui libérerait trois agents capables d'assurer le renfort à l'entrée le temps des travaux. Alors qu'un seul surveillant est en poste à la porte généralement, ils sont deux le temps du chantier. Ce renfort s'effectuant à effectifs constants, les agents étaient rappelés jusqu'à présent sur leurs jours de repos pour assurer la garde.
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