En Inde, un homme très connu des autorités financières et judiciaires négocie le prix de vente de ses trois hôtels, depuis la prison.
La vie, ce n’est pas le Monopoly. On peut vendre ses biens immobiliers, même en prison. Subrata Roy, président du conglomérat Sahara, négocie la vente de ses trois hôtels, le Plaza Hotel de New York, le Grosvenor House de Londres ainsi que le Dream Hotel de New York, directement depuis sa cellule à New Delhi, d’après Les Echos.
L’un des investisseurs les plus prestigieux du monde, le sultan de Brunei a proposé la somme de 2 milliards d’euros pour la reprise des trois palaces.
Un bureau installé dans sa cellule
Le vendeur s’est retrouvé en détention pour avoir fait des émissions obligatoires illégales de plusieurs milliards d’euros. Pour continuer à gérer ses affaires, ce pensionnaire de la prison de Tihar s’est fait installer « un véritable bureau, où viennent le rejoindre des collaborateurs et où des installations vidéos lui permettent de négocier à distance avec des investisseurs du monde entier », explique le quotidien.
Cette vente est capitale pour l’indien car si l’affaire se conclut, il pourra payer la caution de 1,2 milliard d'euros qui lui est demandé.
Cette vente est capitale pour l’indien car si l’affaire se conclut, il pourra payer la caution de 1,2 milliard d'euros qui lui est demandé.
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