Secrétaire adjoint du syndicat Ufap-Unsa, Albert Bolzon et ses collègues de la maison d'arrêt d'Arras ont tiré la sonnette d'alarme le 25 mars.
Arras : un surveillant raconte l'alcoolisation des détenus
- Votre syndicat est relativement discret à la maison d'arrêt d'Arras. Pourquoi être sorti de votre réserve ?
- Parce que l'alcoolisation, c'est un phénomène qui s'aggrave. Je suis à Arras depuis sept ans. Avant, c'était sporadique.
Plus de détails dans notre prochain journal en vente à partir de mercredi dans tous les kiosques ou sur notre plateforme PDF.
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