Le nouveau Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), Adeline Hazan, a estimé aujourd'hui que les téléphones portables "(pouvaient) être utilisés" en détention, sous réserve de limiter leur usage à quelques numéros seulement.
"Je pense que cela peut être utilisé (...) afin de favoriser "le maintien des liens familiaux". "C'est cela qu'il faut avoir en ligne de mire", a fait valoir, sur France Inter, Adeline Hazan, nommée officiellement Contrôleur hier en Conseil des ministres. Pour elle, il faut "faire en sorte que les détenus ne coupent pas les ponts avec leur environnement de façon à préparer dans de meilleures conditions leur sortie et de donc de prévenir les risques de récidive".
Interrogée sur les saisies massives de téléphones portables au centre pénitentiaire des Baumettes (Marseille), Adeline Hazan a estimé que "cela (prouvait) bien que l'interdiction ne (servait) pas à grand-chose".
Les téléphones portables sont aujourd'hui interdits aux détenus, qui ont néanmoins accès à des téléphones fixes. Les conversations sur ces postes fixes sont susceptibles d'être écoutées pour des raisons de sécurité.
Le prédecesseur d'Adeline Hazan, Jean-Marie Delarue avait déjà pris position pour l'autorisation, sous certaines conditions, des téléphones portables en détention, une mesure qui rencontre l'opposition de plusieurs syndicats pénitentiaires.
"Je pense que cela peut être utilisé (...) afin de favoriser "le maintien des liens familiaux". "C'est cela qu'il faut avoir en ligne de mire", a fait valoir, sur France Inter, Adeline Hazan, nommée officiellement Contrôleur hier en Conseil des ministres. Pour elle, il faut "faire en sorte que les détenus ne coupent pas les ponts avec leur environnement de façon à préparer dans de meilleures conditions leur sortie et de donc de prévenir les risques de récidive".
Interrogée sur les saisies massives de téléphones portables au centre pénitentiaire des Baumettes (Marseille), Adeline Hazan a estimé que "cela (prouvait) bien que l'interdiction ne (servait) pas à grand-chose".
Les téléphones portables sont aujourd'hui interdits aux détenus, qui ont néanmoins accès à des téléphones fixes. Les conversations sur ces postes fixes sont susceptibles d'être écoutées pour des raisons de sécurité.
Le prédecesseur d'Adeline Hazan, Jean-Marie Delarue avait déjà pris position pour l'autorisation, sous certaines conditions, des téléphones portables en détention, une mesure qui rencontre l'opposition de plusieurs syndicats pénitentiaires.
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