Le personnel pénitentiaire n’est pas passé à côté des stupéfiants, malgré leur cachette… très intime !
Le transport de drogue n’est plus vraiment ce qu’il était depuis les attentats du 11 septembre et les renforts de contrôles douaniers qui ont suivi.
Même au parloir des prisons, la mission consistant à remettre un peu de stupéfiants aux détenus est devenue chose compliquée. Surtout pour parvenir à garder le tout au moment de la fouille.
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Ce prévenu de la maison d’arrêt de Queuleu l’a encore appris à ses dépens, ce jeudi, après que sa compagne lui a remis une trentaine de grammes de résine de cannabis et un gramme de cocaïne.
Elle déclarera elle-même aux policiers durant la double garde à vue : «Je lui ai donné directement dans les mains, il les a mis entre ses fesses.» Voilà pour l’image. Elle-même transportait les petits sachets sous cellophane dans son soutien-gorge.
Dans les faits, c’est in corpore que la marchandise avait été placée par le récepteur, c’est-à-dire dans son anus.
Sauf que le personnel pénitentiaire n’est pas né de la dernière pluie. Qu’il a également déniché, dans cette planque très intime devenue un refuge de moins en moins fiable, plusieurs feuilles de cigarette !
Le couple sera jugé en décembre pour plusieurs faits : elle pour remise illicite d’objet à un détenu et lui pour recel, détention et acquisition de produits stupéfiants.
Le quotidien
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