Six gardiens de prison de Saint-Quentin-Fallavier sont passés par les urgences ces dernières heures, après des agressions. Un syndicat pénitentiaire réclame le transfert d'une quinzaine de détenus jugés dangereux.
Mercredi 6 Novembre, plusieurs agressions sur du personnel pénitentiaire ont eu lieu au Centre de Saint-Quentin-Fallavier. Des agressions une nouvelle fois dénoncée par le syndicat UFAP/UNSa.
La première, vers 9h30, un Lieutenant a été mordu profondément au bras par un détenu très agressif.
La deuxième, à 10h30. Un détenu aurait sauvagement assailli une surveillante à l'aide d'une paire de ciseaux et tenté de l'étrangler. Grâce à l'intervention et au sang froid de plusieurs surveillants présents sur les lieux, "l'enragé" a été maîtrisé.
Conduit en quartier disciplinaire, il a de nouveau agressé d'autres surveillants. Un gardien a eu l'arcade ouverte par un coup de poing, un autre a été marqué au visage. Deux autres surveillants ont eu des blessures liées à leur intervention.
En soutien et par solidarité, l'équipe de la relève de 13 heures a restreint les mouvements pour ne conserver que les parloirs et les promenades.
Au final, ce sont donc six agents qui sont passés par les urgences. Des Interruptions Temporaires de Travail allant de un à trois jours ont été prononcées.
L'UFAP/UNSa Justice demande "le transfert d'une liste de 15 détenus les plus instables et réfractaires à l'autorité."
France 3
La première, vers 9h30, un Lieutenant a été mordu profondément au bras par un détenu très agressif.
La deuxième, à 10h30. Un détenu aurait sauvagement assailli une surveillante à l'aide d'une paire de ciseaux et tenté de l'étrangler. Grâce à l'intervention et au sang froid de plusieurs surveillants présents sur les lieux, "l'enragé" a été maîtrisé.
Conduit en quartier disciplinaire, il a de nouveau agressé d'autres surveillants. Un gardien a eu l'arcade ouverte par un coup de poing, un autre a été marqué au visage. Deux autres surveillants ont eu des blessures liées à leur intervention.
En soutien et par solidarité, l'équipe de la relève de 13 heures a restreint les mouvements pour ne conserver que les parloirs et les promenades.
Au final, ce sont donc six agents qui sont passés par les urgences. Des Interruptions Temporaires de Travail allant de un à trois jours ont été prononcées.
L'UFAP/UNSa Justice demande "le transfert d'une liste de 15 détenus les plus instables et réfractaires à l'autorité."
France 3
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