Ludovic Cottez a été condamné par la cour d'assises du Doubs. Le drame s'était noué le 11 septembre 2011 dans un appartement de Montbéliard.
Jean-Pierre Belon Ludovic Cottez dans le box des accusés aux assises du Doubs
Ludovic Cottez encourait vingt ans de réclusion criminelle. Il comparaîssait pour "violences volontaires ayant entraîné la mort" de sa mère, sans intention de la donner, et "violences" sur son père handicapé.
Régulièrement hospitalisé pour des problèmes psychiatriques depuis 2006, Ludovic Cottez a reconnu durant son procès avoir frappé sa mère, expliquant qu'il avait eu "peur que ses cris alertent les voisins et la police".
Le matin du 11 septembre 2011, au domicile familial, le jeune homme avait battu son père, comme à son habitude, en le frappant avec un balai. Sa mère aurait alors tenté d'alerter les secours, ce qui l'avait fait redoubler de colère et retourner sa fureur contre elle.
Les coups de poing assénés à cette femme de 59 ans placée sous tutelle et allongée dans un lit médicalisé ont provoqué une fatale hémorragie cérébrale.
La famille était suivie par les services sociaux depuis de nombreuses années. La police était intervenue à 47 reprises chez elle pour des différends familiaux.
Régulièrement hospitalisé pour des problèmes psychiatriques depuis 2006, Ludovic Cottez a reconnu durant son procès avoir frappé sa mère, expliquant qu'il avait eu "peur que ses cris alertent les voisins et la police".
Le matin du 11 septembre 2011, au domicile familial, le jeune homme avait battu son père, comme à son habitude, en le frappant avec un balai. Sa mère aurait alors tenté d'alerter les secours, ce qui l'avait fait redoubler de colère et retourner sa fureur contre elle.
Les coups de poing assénés à cette femme de 59 ans placée sous tutelle et allongée dans un lit médicalisé ont provoqué une fatale hémorragie cérébrale.
La famille était suivie par les services sociaux depuis de nombreuses années. La police était intervenue à 47 reprises chez elle pour des différends familiaux.
Un huis clos familial malsain
Au 2ème jour de procès, les experts psychiatres ont brossé le portrait d'un accusé souffrant de psychose infantile. Au dernier jour d'audience, l'avocat général avait requis contre Ludovic Cottez 12 ans de prison dont un peine de sûreté de 8 ans.
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