Charles Pieri a quitté lundi le centre pénitentiaire de Borgo (Haute-Corse).
L'ancien dirigeant nationaliste corse a été remis en liberté suite à une erreur administrative de la justice, ses avocats n'ayant pas été convoqués dans les délais pour l'examen de l'appel de sa libération conditionnelle.
Les délais pour examiner sa demande de remise en liberté après l'appel du parquet n’ont pas été respectés. L'ex-chef nationaliste est donc sorti libre lundi en fin de matinée, sous bracelet électronique.
Il lui restait un an à purger suite à plusieurs condamnations. La dernière en date à deux ans ferme pour "détention d’armes" datait de novembre 2013.
Les avocats de Charles Pieri, Me Eric Barbolosi et Marc-Antoine Luca avaient obtenu une libération conditionnelle, contre laquelle le parquet avait fait appel.
Mais ils n’ont pas été convoqués dans la forme légale à l’audience, pour l'un n'ayant jamais reçu de convocation et pour l'autre ayant été convoqué hors délais.
L’audience devant la Chambre d’appel d’application des peines a donc été renvoyée au 6 octobre au-delà du délai prévu de deux mois.
La décision du juge d'application des peines est donc redevenue effective, entraînant la libération de Charles Pieri.
Il lui restait un an à purger suite à plusieurs condamnations. La dernière en date à deux ans ferme pour "détention d’armes" datait de novembre 2013.
Les avocats de Charles Pieri, Me Eric Barbolosi et Marc-Antoine Luca avaient obtenu une libération conditionnelle, contre laquelle le parquet avait fait appel.
Mais ils n’ont pas été convoqués dans la forme légale à l’audience, pour l'un n'ayant jamais reçu de convocation et pour l'autre ayant été convoqué hors délais.
L’audience devant la Chambre d’appel d’application des peines a donc été renvoyée au 6 octobre au-delà du délai prévu de deux mois.
La décision du juge d'application des peines est donc redevenue effective, entraînant la libération de Charles Pieri.
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