Question des islamistes en isolement, rencontre avec les détenus, avec les médecins et les surveillants, visite des lieux…
Depuis quelques semaines, la loi autorise les parlementaires à se faire ouvrir, sans s’annoncer, les portes des prisons françaises, accompagnés de journalistes.
Mardi, la maison d’arrêt de Corbas s’est, quelques heures durant, livrée à une opération porte ouverte. Sans restrictions.
C’est sans rendez-vous que Georges Fenech, député du Rhône, a inauguré cette pratique. Opération transparence. Impromptue. C’est une première pour des journalistes qui auront le loisir d’aller où ils le souhaitent, ou à peu près, de se faire ouvrir les portes, de discuter avec les surveillants, avec les détenus.
Instants de liberté entre les multiples portes métalliques qui ponctuent les déplacements. La parole elle, est libre. L’occasion aussi de s’apercevoir que les brouilleurs de portables sont plutôt inefficaces… D’ailleurs, les gardiens en saisissent près de 600 chaque année dans l’enceinte de la prison.
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