Des personnes sous bracelet électronique auraient bénéficié de ses largesses en échange d'argent liquide : un surveillant pénitentiaire de 26 ans a été mis en examen pour "corruption passive" et "connivence à évasion".
En échange de "bakchich", plusieurs milliers d'euros, le surveillant aurait permis à des détenus de bénéficier d'un périmètre de liberté beaucoup plus large que celui décidé par la justice et n'aurait pas traité correctement les alarmes de certains bracelets, qui se déclenchent quand un détenu sort de son périmètre, précise une source policière.
Mis en examen en janvier, puis placé sous contrôle judiciaire, "il a démissionné dans la foulée" de son service, le pôle de placement sous surveillance électronique (PSE) du Service pénitentiaire d'insertion et de probation (Spip) du Val-de-Marne, révèle la source proche du dossier. Parmi les cas mis en lumière par l'enquête, selon cette même source, celui d'un détenu qui bénéficiait d'un périmètre de liberté de "plusieurs centaines de mètres". Ou encore ce condamné qui avait réussi à ôter son bracelet, mais qui n'a jamais été inquiété: "Il était peinard pendant trois mois."
L'enquête a aussi fait apparaître "de nombreux dysfonctionnement" au sein du pôle PSE...
Lire la suite sur www.lefigaro.fr
En échange de "bakchich", plusieurs milliers d'euros, le surveillant aurait permis à des détenus de bénéficier d'un périmètre de liberté beaucoup plus large que celui décidé par la justice et n'aurait pas traité correctement les alarmes de certains bracelets, qui se déclenchent quand un détenu sort de son périmètre, précise une source policière.
Mis en examen en janvier, puis placé sous contrôle judiciaire, "il a démissionné dans la foulée" de son service, le pôle de placement sous surveillance électronique (PSE) du Service pénitentiaire d'insertion et de probation (Spip) du Val-de-Marne, révèle la source proche du dossier. Parmi les cas mis en lumière par l'enquête, selon cette même source, celui d'un détenu qui bénéficiait d'un périmètre de liberté de "plusieurs centaines de mètres". Ou encore ce condamné qui avait réussi à ôter son bracelet, mais qui n'a jamais été inquiété: "Il était peinard pendant trois mois."
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