La semaine dernière, d’après un communiqué de l’UFAP-UNSA-Justice, un mur de la prison a été tagué, pour la première fois.
Le nom d’un surveillant était écrit, accompagné d’insultes salées que nous n’allons pas reproduire ici.
Selon le syndicat « il ne fait aucun doute que ceci est le fait d’anciens pensionnaires de Sequedin surtout quand on voit le style de l’écriture ».
Une plainte a été déposée, et la police s’est déplacée pour prendre l’œuvre en photo.
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Guillaume Pottier, délégué local du syndicat, déplore : « Ils ont mis deux jours à l’enlever ! Il suffisait d’un coup de peinture premier prix pour au moins cacher le nom du collègue ! »
Pour le syndicaliste, l’infraction a été rendue possible par la défaillance de l’éclairage extérieur : « Il n’y a que la moitié des lumières qui fonctionnent, du mirador on ne voit rien ! »
Par ailleurs, il est indiqué dans ce même communiqué qu’« un agent a été contaminé par la gale », et que les matelas des chambres des surveillants, dans la salle de repos, vont être changés, pour cause de suspicion de présence de puces, ainsi que l’UFAP l’avait dénoncé dans nos colonnes.
Nord Eclair
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