Plusieurs manifestations se sont déroulées, jeudi 12 juin 2014, devant les centres pénitenciers de Nancy-Maxéville et Metz Queuleu.
Les surveillants de prison se sont rassemblées pour protester contre leurs conditions de travail. En cause, la hausse de l'insécurité et la baisse des effectifs.
Les surveillants pénitenciers manifestent à l'appel de l'UFAP/UNSa Justice, jeudi 12 juin 2014, devant les prisons de Nancy-Maxéville et de Metz-Queuleu pour protester contre leurs conditions de travail.
Près de 90 salariés étaient rassemblés très tôt ce matin devant les portes du centre de Nancy-Maxéville. Les manifestants avaient fait brûler des pneux. Des CRS étaient présents sur place. Une manifestation similaire a été organisée du côté de la prison de Metz-Queuleu.
Depuis le début de l'année, ces agents de l'État se mobilisent régulièrement pour critiquer la hausse de l'insécurité et la baisse des effectifs.
Près de 90 salariés étaient rassemblés très tôt ce matin devant les portes du centre de Nancy-Maxéville. Les manifestants avaient fait brûler des pneux. Des CRS étaient présents sur place. Une manifestation similaire a été organisée du côté de la prison de Metz-Queuleu.
Depuis le début de l'année, ces agents de l'État se mobilisent régulièrement pour critiquer la hausse de l'insécurité et la baisse des effectifs.
Des mesures sont proposées par les syndicats parmi lesquelles :
- des recrutements significatifs de personnels (2500 à minima)
- des moyens matériels pour la Pénitentiaire
- l'abrogation de l'art 57 (interdiction des fouilles systématiques des détenus lors de contacts avec l'extérieur) de la loi pénitentiaire.
- l'abrogation de l'art 29 (création de "syndicats" de détenus donnant leur avis sur la gestion de la détention)
- le renforcement de l'autorité des agents par un soutien de la hiérarchie
Lundi dernier, une tentative de prise d'otage s'est déroulée à la prison de Metz Queuleu.
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