Déjà le 25 septembre dernier, quand le centre pénitentiaire de Valence, avait connu sa première mutinerie, Sylvain Royère, avait tiré la sonnette d’alarme.
Le délégué UFAP-UNSa Justice soutient que l’établissement est insuffisamment doté en personnel. Tout comme « l’hôpital et la police nationale », ajoute-t-il.
À croire que le ministère de la Justice n’a pas intégré qu’il y avait désormais un quartier Maison centrale. « Actuellement, il y a un surveillant pour 20 détenus. Il en faudrait au moins deux. »
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Le délégué demande aussi «une fouille complète et totale du Centre pénitentiaire. Car des armes, il y en a un peu partout. » Ou du moins ce qui peut faire office.
Un an après son ouverture, le 8 novembre 2 015, le centre pénitentiaire de Valence est sous tension.
Le Dauphiné
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