« Je sais que certains m’ont détesté à certains moments », lance Alexandre Bouquet. Esprits consensuels s’abstenir…
Fidèle à son tempérament, celui qui était directeur du centre de détention d’Ecrouves depuis 2013 s’est montré cash, hier soir, lors de son pot d’adieu organisé dans la salle des fêtes voisine.
Introspection
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Avant de rejoindre Paris et un poste de directeur de cabinet à l’administration centrale pénitentiaire, le trentenaire atypique s’est livré à une introspection maison.
Endossant volontiers sa part d’échecs. Parmi ses regrets : l’hémorragie des effectifs ( l’établissement compte 18 surveillants de moins qu’à son arrivée ) et l’état d’esprit de certains agents « mal dans leur peau », qu’il n’est pas parvenu à changer.
L’administration pénitentiaire, par la voix de sa directrice interrégionale Valérie Decroix, ou les services de préfecture de Meurthe-et-Moselle, représentées par Marie Argouarch, ne partagent visiblement pas cette autocritique.
L’une comme l’autre, ont salué sans réserve le travail de qualité effectué par Alexandre Bouquet...
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