L'association "Non à une maison d'arrêt" a tenu son assemblée générale, samedi 27 février. Elle redoute toujours que la nouvelle prison de Caen soit construite à Bretteville.
"Tant que l’Apij (Agence publique pour l’immobilier de la justice, chargée d’identifier des terrains susceptibles d’accueillir la nouvelle maison d’arrêt de Caen) n’a pas tranché, nous restons mobilisés et vigilants."
Pas question pour Marie-Pascale Lepley-Legrand, présidente de l'association "Non à une maison d'arrêt à Bretteville-l'Orgueilleuse", de cesser le combat. Celui qui consiste à démontrer que la nouvelle prison, qui devrait être construite entre 2018 et 2023, n'est pas la bienvenue à Bretteville-l'Orgueilleuse, située entre Bayeux et Caen.
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40 personnes à l'assemblée générale
Samedi 27 février, les membres de l'association, fondée le 27 janvier 2015, ont tenu leur assemblée générale en présence de 40 personnes. "Nous savons que l’Apij a repéré trois communes où des terrains peuvent correspondre à l’implantation de la nouvelle maison d'arrêt de Caen, croit savoir la présidente. Il y a la nôtre, Bretteville-l’Orgueilleuse, ou bien encore Ifs."
"Pas rassurés pour autant"
Pourtant, il y a peu, Ouest-France révélait qu'Ifs, commune de l'agglomération caennaise, semble tenir la corde pour accueillir ce nouvel établissement pénitentiaire. "Nous ne sommes pas rassurés pour autant", déclare Marie-Pascale Lepley-Legrand.
Ouest-france
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