L'article consacré à Ibrahim Naime, un détenu de 30 ans, surveillé par douze agents de l'Equipe régionale d'intervention et de sécurité (Eris), jeudi, à Poitiers, a fait réagir sa tante : « Il faut le sortir de cet engrenage carcéral », a-t-expliqué.
« Il ne se laisse pas faire quand ses droits sont bafoués. » A Poitiers, jeudi, il était venu se désister d'un appel suite à une condamnation à neuf mois de prison ferme. Un énième incident l'avait opposé à des surveillants, lors de son passage au centre pénitentiaire de Poitiers-Vivonne, entre avril et juin 2014.
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Le parcours de ce détenu n'est pas sans rappeler un profil similaire, celui de Christine Ribailly, surnommée « la bergère insoumise. »
Elle aussi allonge sa durée d'incarcération en dénonçant les conditions de détention. Elle a été condamnée par le tribunal correctionnel de Poitiers, début avril, à huit mois de prison, dont six avec sursis, pour des faits de violences et d'outrages commis à l'encontre de surveillants… lors de son passage à Vivonne.
La Nouvelle République
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