Fustigeant l’absence de dialogue social régnant, selon eux, au centre pénitentiaire de Perpignan, une soixante de salariés ont débrayé pendant une heure, ce matin, brûlant des palettes devant la porte principale afin de bloquer toute extraction judiciaire.
A l’arrivée, le syndicat Ufap/Unsa se félicite que le directeur Jean-Yves Goiffon prête une oreille à leurs revendications.
« Il nous a donné satisfaction, témoigne Johann Reig, secrétaire local du syndicat.
Désormais, toute décision concernant le fonctionnement et la sécurité au sein de la prison sera débattue en comité technique spécial entre la direction et les organisations syndicales. » Dont acte.
A 8 heures, l’ensemble du personnel a repris son travail.
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