La grève à la prison de Mons se poursuit encore et toujours, depuis plus de 10 jours. Le mouvement était suivi à l’échelle nationale. Mais après une rencontre avec le ministre de la justice, le travail a repris pour tout le monde. Enfin presque.
Il reste d’irréductibles Montois qui refusent de stopper leur mouvement de grogne et ce même si les hautes sphères syndicales encouragent le personnel à reprendre le travail. Un entêtement que ne comprend pas le directeur de la prison de Mons, Axel Piers.
« Non je ne comprends pas, car les agents ne sont pas venus avec des éléments qui concernent Mons, mais bien l’État belge. Leurs motifs qui justifiaient leur grève concernaient des éléments nationaux. Leurs revendications étaient portées par tout le monde. Désormais ils sont seuls. Ils sont même lâchés par les syndicats nationaux ».
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Le directeur est agacé par cette situation qui ne bouge pas. « Ce n’est pas à la police, ni à la direction, ni aux assistants pénitentiaires, ni aux détenus à subir d’éventuelles tensions internes au sein des syndicats, poursuit Axel Piers. Les détenus n’ont rien à voir avec les problèmes nationaux. Et je trouve que c’est une insulte à l’humanité ! Les grévistes prennent en otage les relations affectives des détenus avec leurs familles, leurs époux, leurs enfants, etc. Ils sont dans l’incapacité de les voir, de les embrasser à une période de l’année où en général les êtres humains veulent se dire qu’ils s’aiment ».
www.laprovince.be
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