Centrale de Clairvaux : relancer la contestation pour tenir jusqu'en 2017

Les élus locaux cherchent à ralentir le processus de fermeture de la centrale de Clairvaux avant qu’il ne devienne irréversible. En espérant une alternance politique en 2017.

La réflexion des élus du Barsuraubois est simple. S’ils veulent que la centrale de Clairvaux ait une petite chance d’être maintenue, il faut relancer le mouvement de contestation, maintenant, ou jamais.



Réunis jeudi en conseil communautaire, les maires du Barsuraubois ont dressé la liste des actions à mettre en place pour tenter de sauver Clairvaux, et l’économie et la vie du territoire.

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L’objectif est clair. Ralentir au maximum le processus de fermeture de la centrale voulu par le ministère de la Justice et l’administration pénitentiaire.

Avec, dans un coin de la tête, le secret espoir de voir un nouveau président élu en 2017. Un président de la République plus enclin à conserver la mythique centrale française sur le sol aubois.

L'Est éclair