Lundi, quatre surveillants et des détenus de la prison de Maubeuge ont été placés en garde à vue, suite à une importante descente de police.
L’enquête en cours porterait sur des faits de violences sur fond de trafic de stupéfiants. L’affaire se décante.
Au lendemain de l’interpellation de quatre surveillants et de détenus de la prison de Maubeuge dans le cadre d’une affaire de violences et de stupéfiants, des sources proches du dossier s’accordent sur le caractère sensible et délicat d’une affaire qui se noue dans le vase clos de la prison. « Ça se décante doucement. Maintenant il faut attendre quelques heures, quelques jours », s’exprime discrètement un enquêteur.
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Après un peu plus de 24 heures de garde à vue, au moins un des quatre surveillants interpellés ce lundi matin, à la prison d’Assevent, a retrouvé la liberté. Selon le syndicat FO, dont le surveillant en question est délégué au sein de l’établissement pénitentiaire, aucune charge ne pèserait contre lui. L’organisation syndicale se réservant même le droit de porter plainte pour diffamation et dénonciation calomnieuse...
La VDN
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