Pour une histoire de « tentative de vol de lit », un prisonnier, âgé d'une vingtaine d'années, a torturé l'un de ses codétenus et a écopé de 4 ans fermes. La victime a été brûlée sur 8% de la surface corporelle.
Les sévices infligés à la victime ont été qualifiés par le substitut du procureur « d'actes quasiment de torture ».
Après avoir eu les pieds et les poings liés avec son drap, il a reçu de l'eau bouillante à la figure et a également été forcé à la boire.
Il a ainsi été brûlé sur 8% de la surface corporelle, au visage et sur le haut du torse. Son palais a également été brûlé.
Et les examens médicaux ont relevé des blessures au thorax avec des coups de pic, avec de possibles complications infectieuses et de probables séquelles.
Plus de 5 heures après l'agression, l'homme ne dira rien au gardien qui ouvrira la porte de sa cellule. De crainte probablement de représailles.
Finalement, son agresseur est identifié. Il s'agit de l'un des codétenus. Agé de 20 ans, ce dernier dira regrette son geste et avoir agi sous le coup de la colère.
Selon lui, la victime « cherchait les problèmes et voulait prendre son lit » car elle dormait sur un matelas posé sur le sol.
Il l'accusait aussi d'avoir volé certains de ses effets personnels. En fait, son codétenu était devenu le souffre-douleur de tous les pensionnaires de la cellule.
L'homme était en prison depuis cinq mois, pour une peine de 2 ans pour vol aggravé. Pour cette nouvelle affaire, il a écopé de 4 ans de prison ferme.
Après avoir eu les pieds et les poings liés avec son drap, il a reçu de l'eau bouillante à la figure et a également été forcé à la boire.
Il a ainsi été brûlé sur 8% de la surface corporelle, au visage et sur le haut du torse. Son palais a également été brûlé.
Et les examens médicaux ont relevé des blessures au thorax avec des coups de pic, avec de possibles complications infectieuses et de probables séquelles.
Plus de 5 heures après l'agression, l'homme ne dira rien au gardien qui ouvrira la porte de sa cellule. De crainte probablement de représailles.
Finalement, son agresseur est identifié. Il s'agit de l'un des codétenus. Agé de 20 ans, ce dernier dira regrette son geste et avoir agi sous le coup de la colère.
Selon lui, la victime « cherchait les problèmes et voulait prendre son lit » car elle dormait sur un matelas posé sur le sol.
Il l'accusait aussi d'avoir volé certains de ses effets personnels. En fait, son codétenu était devenu le souffre-douleur de tous les pensionnaires de la cellule.
L'homme était en prison depuis cinq mois, pour une peine de 2 ans pour vol aggravé. Pour cette nouvelle affaire, il a écopé de 4 ans de prison ferme.
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