Selon le syndicat Ufap, le nom de l'officier était sur une "liste noire" établie par les détenus.
Cette liste aurait été communiquée lundi dernier lors de la prise d'otage, explique le syndicat dans un communiqué. Invitée à ne pas prendre à la légère cette suite de noms, derrière laquelle se trouvent des femmes et des hommes ayant juré de servir la République, l'administration pénitentiaire a, une nouvelle fois, failli !, écrit l'Ufap.
L'officier agressé ce jeudi matin 2 janvier est ressorti de l'hôpital avec plusieurs points de suture...
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