"Ces courriers incriminaient-ils des surveillants sympathisants à votre syndicat ? " aura été l'une des questions posées par le président de la cour d'appel de Lyon, ce jeudi, au surveillant pénitentiaire, détaché à 100 % sur des activités syndicales.
Celui-ci, avait en effet été condamné en première instance pour "recel de copies de courriers" d'un détenu de la maison d'arrêt de Villefranche qui dénonçait "le mauvais traitement dont il faisait l'objet de la part des surveillants depuis son incarcération" et à 2 000 euros d'amende.
Le Progrès
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